Annaba: COMME CI, COMME ÇA - Les Z’immigris arrivent !

D'abord, pour ceux qui en doute, il faut avoir vécu ce que c'est que de vivre loin de son pays, sa famille, de ses amis, de son enfance et de ses souvenirs pour comprendre l'incommensurable joie de retrouver une fois l'an et parfois après plusieurs années, sa terre natale.
Le destin a voulu que le gagne pain de ces immigrès se trouvent ailleurs. Et si c'était à eux de décider, je suis sûr qu'ils choisiraient, sans hésitation de rester dans leur pays. Parceque, pour la plupart d'entre eux, la vie qu'ils mènent hors de leur frontière, n'est nullement réjouissante: Mépris, racisme, discrimination déguisée et j'en passe...Ils vivent au quotidien ce sentiment de rejet, ces regards appuyés plein de dédain qu'on exprime parfois ouvertement par le ton et la manière, ainsi que ce sentiment d'être juste toléré. Parcequ'on est musulman, parcequ'on a un faciès qui ne passe pas, pacequ'on est différent etc...
Oui! Ces immigrès sont plus que viscérelement algériens. Leurs conversations entre eux, dans les pays où ils se trouvent, ne tournent qu'au tour de ce qui a rapport avec l'Algérie, avec la famille restée là-bas, les amis etc... L'Algérie est au centre de leurs échanges, de leurs entretiens. Elle n'est jamais loin. Le nom Algérie revient 100 à 200 fois au cour d'une même conversation. C'est la preuve de leur grande passion pour leur pays.
Evidemment, il est tout à fait normal que l'on prend par la force des choses, dans ces pays hôtes, d'autres habitudes, d'autres manières, un autre comportement qui diffèrent de ceux du pays natal. Mais ces changements d'adaptation, n'enlèvent rien à la profondeur de leur algériennité si j'ose dire ainsi.
Encore une fois pour ceux qui en doute, il serait également intéressant de relater pour preuve le retour de ces immigrès, à la fin de leur vacances, pour mieux observer leur tristesse,les larmes invisibles et les coeurs gros de devoir quitter le pays où ils se sont senti, pendant un mois non rejetés. Où ils se sont senti acceptés tels qu'ils sont, sans faire allusion à leur origine, leur nom, leur religion ou entendre d'autres propos bléssants. Ils garderons comme souvenir, jusquà l'année prochaine cet excellent moi de ramadhan passer en famille ou ces excellentes vacances d'été sur le sol natal.

Le précédant commentaire est signé Ricrac.

Je suis dure pour une fois, je sais que ma réponse est excessive mais il fallait la faire :

Je suis triste de voir des articles de ce type. Qui poussent à la haine et le mépris. Les immigres qui viennent sont les enfants Annaba « cornard » ils ont laissé cette ville entre vos mains et vous n’êtes pas capable d’en faire quelque chose. ils sont partis pour ne pas vivre le calvaires de la misère que vous entretenez quotidiennement. Des vols et des agressions à tout bout de champs ne vous honorer pas. Eduquez vos enfants avant de vous acharner sur des algériens en particuliers et des Annabis en général qui ont choisi l’exile à la misère quotidienne. Si on te donne une carte de séjour , tu est prêt à ventre ta mère pour sortir de ton horizon funèbre. Il se trouve que ce journaliste qui a écrit ce torchon n’est même pas originaire de cette ville. les gens qui souffrent comme lui sont aigries car ils n’arrivent même pas à boucler la fin du mois avec leurs salaires de misère. Le immigres ne pensent pas plus de toi pauvre imbécile et sache que ces immigres monsiuer contribuent à l’économie du pays et même à monte l’estime de ce pays au Brésil.