
Il était vingt heures lorsque un vent de panique s’était emparé des personnes présentes ou se trouvant à proximité du lieu où une voiture de marque Renault « Symbol » s’était subitement embrasée. Garée sur le parking attenant à la grille du terminal à conteneurs du port, la voiture représentait un danger certain pour les badauds qui commençaient à s’agglutiner près de l’endroit tout comme pour les autres véhicules qui se trouvaient en stationnement en cet endroit.
Un policier de faction près du feu rouge donnant l’accès au Cours, n’écoutant que son courage, s’était emparé d’un extincteur d’un taxi de passage et avait tenté vainement d’éteindre le feu qui commençait à prendre de l’ampleur. Les risques d’explosion des réservoirs de Sirgaz ou d’essence étaient certains et les agents de la voie publique, craignant la catastrophe, éloignaient les curieux qui se rapprochaient du lieu du sinistre. L’arrivée des agents de Protection civile avait permis à tous de souffler. Attaqué de face, l’incendie a pu être circonscrit et le danger écarté. Signalons que la voiture était, fort heureusement, inoccupée au moment du sinistre.
Pour terminer un conseil donné par ceux qui sont chargés de la protection des citoyens, est qu’il ne faut jamais se rapprocher d’un véhicule en feu, les risques d’explosion n’étant pas à écarter. Enfin, au même moment, une voiture « Susiki » s’est renversée près du lieu où une Logan avait plongé dans le canal d’évacuation des eaux usées longeant la cité Safsaf. L’accident a causé des blessures au conducteur qui a été évacué vers les urgences médicales de l’hôpital Ibn Rochd tout proche du lieu de l’accident.
lestrepublicain - 11 septembre 2014 - Ounissi Manel
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