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Annaba : CCI - La CGMP convoite le marché annabi

Publié le 24/05/2015
Parmi les missions de la chambre de commerce, nous enregistrons l’information des adhérents, et c’est à ce sujet qu’une journée d’information a été organisée jeudi avec la caisse de garantie des marchés publics (CGMP), venue présenter ses prestations afin  « d’élargir sa part de marché à Annaba ». Cette caisse est un établissement public à caractère industriel et commercial dont la création intervient dans le cadre du développement du financement de la commande publique. En tant qu’établissement financier, la CGMP a pour mission d’accompagner les entreprises de droit algérien, durant tout le processus de leur participation à la réalisation de la commande publique, depuis l’expression de leur souhait de réaliser un projet jusqu’à la libération de leur engagement. Devant une importante participation de la part des entrepreneurs, le directeur général de la CGMP, M. Aït Larbi a présenté en détails les autres missions de la caisse et a exposé la réglementation des marchés publics à la faveur de nouvelles dispositions réglementaires. Dans son intervention, il a rappelé que cet établissement « a été créé pour les accompagner, les aider, et leur faciliter la tâche pour la réalisation de projet d’équipement publique » a déclaré M. Aït Larbi. Il a profité également de cette occasion pour présenter les prestations que leur offre la caisse ainsi que les avantages qu’ils trouveront par rapport à d’autres organismes qui interviennent dans le domaine du marché public. Pour la chambre, par l’organisation de cette activité, le but est « d’apporter le maximum d’informations et de rapprocher les organismes qui s’en chargent du financement de l’entreprise à ses adhérents » a confié M. Zan, chef de département à la CCI. Des informations sur un secteur qui est le bâtiment et qui répond à la préoccupation majeure de la chambre qui est le projet de la nouvelle ville Draâ Erich pour lequel des entreprises ont besoin de moyens pour le financement de leur projet. C’était l’occasion aussi de répondre aux différentes préoccupations des entreprises et évoquer les différents problèmes rencontrés par les entrepreneurs lors d’un débat qui a clôturé la journée.

lestrepublicain -
24 mai 2015 - Rosa Daoudi
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Les Commentaires

Bonjour,

Aujourd’hui, je veux parler du travail au noir dans notre ville. On parle souvent du commerce informel, mais on oublie de dénoncer le travail au noir utilisé par des pôles importants de notre économie. Sachez, que la part de marché informel représente la partie visible de l’isberg. Et, de plus il assure la paix sociale pour nos dérigeants. Il donne du travail à des centaines de milliers de gens pour élever leurs familles dans la dignité. Ces gens sont montrés du doigt par tout le monde comme étant des fossoyeurs de l’économie. Ils ne paient pas de charges et d’impôts. Ils sussent la sève le pays. Ils s’enrichissent sur les dos du citoyen. On oubli aisément de designer les services publics et les professionnels de la santé pour l’utilisation abusif du travail dissimulé. Les services publics emploient les jeunes sous couvert de contrat aidé sans perspectives d’embauche définitives de ces jeunes. On ne leur assure pas la stabilité de l’emploi. On les console pour quelques mois par des salaires minables des caisses du filet social. Bref, on éteint le feu pour des durées déterminées et on recommence. L’état est donc utilisateur d’une main d’œuvre qualifié. Il se range derrière l’idée qu’il fait de l’insertion pour ne pas se sentir responsable des dégâts encourus par notre jeunesse en manque de stabilité sociale et professionnelle. Les professionnels de la santé, comme les patrons des cliniques ayant pignon sur rue qui utilisent des cadres de la santé sans frais. Les médecins des services publics qui orientent les passions vers ces officines pour les prolongations des soins dits spécialisés. Les cliniques utilisent du personnel paramédical à tour de bras pour parer à leur manque de personnel qualifier. Ces professionnels ne sont jamais déclarés pour leurs activités. Le fics ne voit que du feu et les caisses de sécurité sociales ne récupèrent pas de cotisations pour leurs travail. En fait, les deux parties jouent ensemble et gagnent ensemble. Les cliniques ne sont plus dans l’obligation de former et d’investir sur le personnel et pour le professionnel paramédical une assurance d’un gain facile sans être obligé de quitter leurs postes dans le secteur public. Même après la retraite, nous trouvons ces petites mains faire le bonheur des cliniques. Le citoyen sort perdant dans cette histoire, car, il s’expose aux risques d’accidents l’hors des interventions. On le sait, quand, un personnel est surmené les risques d’accidents augmentent. Voila donc, deux manières de perturber l’économie nationale avec la bénédiction de l’état. On peut dire que des fois on s’acharne sur l’informel pour montrer qu’on fait des choses pour la protection des commerçants afin d’éviter leur grogne. Et de l’autre coté, on ferme les yeux pour protéger les lobbyistes de la santé. Une affaire qui marche pour tous !!!!
je veux de temps en temps lancer des discusions sur des sujets importants comme ce dernier pour faire avancer les idees car nous sommes lus par beaucoup de gens . si ça peut ouvrire les yeux de certains on pourra dire que nous avons comtribuer modestement à faire evoluer les choses
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