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Annaba CITÉ AUZAS - Un petit quartier, un gros centre commercial

Publié le 02/06/2015
Rien n’aurait pu prédire qu’un petit quartier populaire de quelque 5 000 âmes, comme la cité Auzas, deviendrait un  «centre commercial », à l’encontre de toute logique urbanistique et en dépit du bon sens. Actuellement, il ne pourrait même plus être question de redéfinir ce quartier dans un plan de développement urbain cohérent, tant l’enchevêtrement de nouvelles constructions et de constructions de type colonial et « arabe » qui caractérisaient ce quartier, est devenu inextricable. Même si cela n’est pas encore apparent, le quartier est devenu et le deviendra plus, un obstacle à tout développement aux normes urbaines modernes. Cela est dû à sa marginalisation durant des décennies par les pouvoirs publics et le peu de rigueur ayant présidé à la reconstruction de vieilles bâtisses. Parmi les nouvelles constructions peu prétendent être conformes au plan d’ensemble du quartier, sinon à la conformité tout court et on peut le constater sans être un architecte, à vue d’œil. La seule constante c’est la prolifération des commerces de matériaux divers liés à la construction qui font aujourd’hui de ce quartier, un vaste centre commercial au détriment du cadre urbain et environnemental. Les rues et ruelles sont encombrées de véhicules en stationnement mais aussi roulant, de tous types mais surtout utilitaires. Les embouteillages ne sont plus seulement fréquents mais quotidiens et à longueur de journée. Les trottoirs refaits à neuf l’ont été au bénéfice des commerces et non des passants. De fait, ce quartier est devenu une agglomération au sein du tissu urbain, avec ses propres règles qui n’ont aucun lien avec un plan d’ensemble de gestion urbaine.

lestrepublicain -
01 juin 2015 - Ammar Nadir
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Les Commentaires

En vérité, si nous voulons vraiment moderniser nos villes, il nous faut démolir certains quartiers qui ne ressemblent plus à rien. Détruire ces quartiers bidonvilles, à l'aspect répulsif, c'est se défaire également de ces lieux percus comme des endroits de trafics, de pègres, de mauvaise réputation et surtout de dangers. Sans compter les risques d'inondations ou d'incendies de ces demeures d'une autre époque, vétustes et collées les unes aux autres, elles brûleraient beaucoup plus facilement qu'une torche.
Ainsi ces démolitions accompli, après avoir évidemment reloger tout le monde ailleurs dans des habitations décentes et récentes, permettraient d'élargir et agrandir des espaces pour de nouvelles constructions adaptées à un urbanisme moderne et conforme à l'air du temps. Surtout qu'Annaba ville manque cruellement d'assiettes foncières.
Bonjour a tous . "Ya hasra" comme disait ma défunte mère et comme le répéte toujours ma Tante bien aimée .Je vais etre bref car cette situation me désole et me fatigue : Je suis né au 87 Rue BELIZAIRE (Actuellement Rue BOUTIAH SALAH) , qui est paralelle a la rue BAYARD . C'est une impasse située juste en face de l'actuelle Mosquée qui a été batie et DIEU merçi sur le terrain d'une certaine dame dite "HADDA EL MOUKHNACHIA" car elle avait une voix nasillarde suite a un coup de point de son 5éme mari!!!!!! . Ceci pour l'anecdote. Mon pere tenait a l'époque les 2 magasins situés juste en bas de notre immeuble. Plus loin il y avait 2 palmiers..........Nous étions heureux , paisibles et surtout solidaires entre nous . Quelques "koursis" et nos parents palabraient en toute quietude alors que nous , gamins hauts comme 2 pommes allions au terrain vague a l'époque , taper dans un ballon cousu et recousu maintes fois .Dans cette impasse nous avions comme voisins des gens adorables et jamais au grand jamais , nous ne fermions nos portes a clé. Ce n'est pas du tout de la nostalgie mais quand je vois ce qui se passe depuis quelques décennies dans ma BONE (avec accent circonflexe) , je reste les bras ballants.......Nous avons démenagé depuis mais quand je sort , j'emprunte des chemins de travers , direction DJIDJELLI , BOUGIE ou parfois LAVERDURE , VILLARS ou SOUK-AHRAS . Mais qui se souvient de ces anciens noms ?? Je m'arrete souvent DUVIVIER ou mon feu pére était juge de paix . Au retour nous nous arretions a une fontaine pas loin de FAUVELLE afin de remplir nos bouteilles d'une eau pétillante qui jaillissait du sol . A vous lire mes chers amis.............Voilààààààààààà
Bon un peu d’histoire perso : moi je suis né AAGBAT lahsan, c’est la rue parallèle à la rue de la villette, face aux locaux de la Sinpac. Ma scolarité c’est passé à la petite école maternelle de la Colonne, ma primaire à Sadi Carnot pour finir au collège technique. J’ai vécu dans 5 quartiers différents : Pont blanc (pour la petite histoire : nous avons été regroupé à Bou hamra sous les tentes en réaction à l’incendie de la fermé Borgo par les maquisards). Bof !!!Je me plaisais très bien pendant ces quelques semaines passées dans ce terrain vague comme des gitans. J’ai joué dans les tentes avoisinantes. Le plus dur pour moi, c’était la corvée de l’eau. Avec des bidons, on allait la chercher près de la BGA. J’étais haut comme deux pommes en ce moment. Non troisième, lieu de résidence fut la rue Galdes près de couchette fatma. Pour faire simple, c’est la rue qui vient de El Biban (cinéma olympiade) pour aller à l’orangerie. Mes parents ont acheté un appartement dans le bâtiment de cahouat sadik troisième tranche, face à rahbat (‘c’est les constructions du fameux PLAN de CONSTANTINE) et nous avons déménagé dans notre nouveau logement. 1962, nous avons quitté jabanat lihoud pour élire domicile définitivement à l’orangerie face à l’ecole de garçon. J’ai donc été voisin d’AMANAL pendant un certain temps. je connais bien son quartier car c’était aussi le quartier de Langila (le pied noir assassiné en 1961). Je réside à Lille depuis 1973. Martine est le maire de cette ville et mon patron à la fois. Car je travaille pour la mairie de lille. Et, bientôt la retraite !!!!!que ça va vite.

rahbat jabala le nom me revient les amis!!!!!!!!!!!!!!
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