Ainsi, le complexe sidérurgique d’El Hadjar, ArcelorMittal Pipes & Tubes Algérie ainsi que ArcelorMittal Tébessa passera sous le « contrôle total de la partie algérienne (…) dans ce qui facilitera la prise de décision et la mobilisation des moyens financiers », selon le ministre.
Bouchouareb précise que « cet accord permettra de stabiliser le climat social au niveau des trois sociétés, pour améliorer leur rentabilité et préserver les emplois ». Le ministre de l’Industrie annonce également la poursuite de « l’opération de revamping des installations industrielles et leur redémarrage. »
Bouchouareb affirme qu’il ne s’agit pas d’une nationalisation, mais une simple restructuration du capital, qui permet à la partie algérienne de détenir 100% du capital. En somme, une nationalisation… Le montant de la transaction n’a pas été divulgué.
Le groupe ArcelorMittal devrait continuer à collaborer avec le gouvernement algérien à travers une aide pour le suivi technique pour mener à bien le projet de rénovation : « Nous sommes heureux de pouvoir soutenir le gouvernement algérien à réaliser ce plan dans l’intérêt de la société et du pays », selon un membre de la Direction générale du groupe ArcelotMittal et Directeur monde du segment ACIS, rapportés par le site spécialisé Zonebourse.
En 2001, l’Algérie avait cédé le complexe sidérurgique d’El Hadjar à l’Indien Ispat, devenu ensuite ArcelorMittal pour un dinar symbolique.
TSA - 7 octobre 2015 Par Tewfik Abdelbari
Les Commentaires
"A lire"JEUNE Afrique" oui c'est bien ça! dégage dans ton château de GB, pourri, suceur de sang, Dracula, sale individu, profiteur chez lui des malheureux d'indiens travail pour une bouchée de riz, sans aucunes sécurité même pas de gants ni de chaussures...pieds nus! les ALGERIENS NE VEULENT PAS DE TA TRONCHE DE PD!.