Annaba. Hôtel d'Orient: Le désastre s'accroît

Le désastre de la cession de l'Hôtel d'Orient s'accoît de jour en jour pour l'infrastructure qui se délabre et pour les 29 travailleurs qui réclament leurs droits en vain. En premier le droit, inaliénable de savoir à quoi s'en tenir, ensuite leurs droits selon les dispositions réglementaires régissant et le travail et la cession dont a fait l'objet l'hôtel.
Notamment l'octroi de 10% du capital aux travailleurs, selon l'article 28 de l'ordonnance 01/04 du 21 août 2001, une disposition confortée par une note d'application du ministère de la Participation et de la Promotion des investissements datée du 20 mars dernier et adressée aux présidents des SGP. Mais là où le bât blesse, dans la cession de l'hotel d'Orient c'est cette même cession qui, après la signature du contrat le 13 février 2006 entre les deux parties, la SGP GESTOUR et l'acquéreur , un indusriel batnéen activant dans la région de ANNABA est devenue douteuse à plus d'un titre.......L'acquéreur avait fait part officiellement de son désistement. Un désistement qu'aucune clause du contrat ne prévoit  pour aucune des deux parties,.......
........Pire encore s'il en faut, le gérant de l'hôtel pour le compte de l'acquéreur a démissionné le 30 avril dernier laissant l'etablissement sans responsable. Autant de points qui ont rendu cette cession désastreuse autant que douteuse alors actuellement elle traîne sans qu'une décision définitive ne soit connue à l'égard de cette infrastructure qui fait partie du patrimoine historique de Annaba.
L'est républicain  (extraits)  > 03/05/07 > Ammar Nadir