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"« L’Algérie, le cauchemar de Macron »"

Publié le 27/02/2019
" Sputniknews" le 25 février 2019 Par La Rédaction" L’Algérie, le cauchemar de Macron »: ce qui se passerait en France si Bouteflika mourrait" Les autorités françaises «sont terrifiées par la perspective d’une grave déstabilisation de notre ancienne colonie après la mort de Bouteflika», a déclaré un haut responsable à un journaliste de l’Obs, qui a listé les raisons de l’inquiétude de Paris. À l’approche de l’élection présidentielle en Algérie, le journaliste Vincent Jauvert a écrit pour le magazine le Nouvel Observateur un article expliquant que l’Élysée et les services français de sécurité sont angoissés par l’idée d’une «déstabilisation de l’Algérie à la suite de la mort du Président Bouteflika ou d’une révolte». Ainsi, un haut responsable français a confié au média «ce qui inquiétait le plus Emmanuel Macron». L’entretien a eu lieu en février, plusieurs jours avant les manifestations contre un cinquième mandat du Président Abdelaziz Bouteflika. «Le cauchemar du président de la République, c’est l’Algérie. C’était aussi celui de ses prédécesseurs. Les plus hautes autorités de l’État sont terrifiées par la perspective d’une grave déstabilisation de notre ancienne colonie après la mort de Bouteflika», a-t-il affirmé. Le journaliste souligne notamment qu’«une grave crise politique dans ce pays si proche — à la suite d’une révolte de la jeunesse et/ou d’une disparition de son président — risque, en effet, de poser des problèmes considérables à la France». Dans son article, le journaliste énumère quatre raisons qui expliquent pourquoi une éventuelle mort de M. Bouteflika serait défavorable à la France. Par ailleurs, une déstabilisation en Algérie pourrait pousser «des centaines de milliers de jeunes» Algériens à émigrer en France «ce qui, à l’évidence, poserait un défi politique majeur au gouvernement français», poursuit M. Jauvert. Il faut également tenir compte «que l’immigration algérienne en France, et sa descendance, est nombreuse et attentive à ce qui se passe de l’autre côté de la Méditerranée». Enfin, il ne faut pas oublier la menace terroriste car «la précédente crise politique algérienne à la fin des années 1980 a ouvert la voie aux djihadistes qui ont semé la terreur dans le pays pendant une décennie et menacé la France à plusieurs reprises». Abdelaziz Bouteflika, 82 ans et victime d’un AVC en 2013, au pouvoir sans interruption depuis 1999, a annoncé le 10 février qu’il briguera un cinquième mandat en Algérie. L’élection présidentielle algérienne se déroulera mi-avril. Des opposants à la candidature d’Abdelaziz Bouteflika à la présidentielle ont manifesté vendredi 22 février dans plusieurs villes d’Algérie. Dimanche, de nombreux manifestants ont également défilé à Paris et à Alger". "Sputniknews"
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Les Commentaires

"Le problème de E.Macron (ironie)"

Il réfléchi sur une éventuelle augmentation pour équilibrer le budget de l'état français en augmentant les prix des zodiaques à coque semi rigide sans oublier les moteurs hords-bord "Evinrude, mercury ou Yamaha, Suzuki".
De tout temps les vagues de migrations ont été indissociables des famines, des guerres, des grandes crises sociales et autres conflits dans le monde. De tout temps ces vagues de migrations ont suscité une plus ou moins grande frayeur des pays limitrophes ou d'autres pays forcés de les accueillir. À chaque fois ces évènements extrêmes posent la question du comment recevoir ces flux de gens qui fuient leur pays pour des raisons citées dessus. C'est une démarche souvent complexe et astreignante pour les pays prêts à accueillir ces populations qui se déplacent d'un pays à un autre. La problèmatique, aujourd'hui, pour les pays occidentaux elle est doublée par une autre difficulté, c'est celle de la compatibilité du besoin de reconnaissance identitaire de gens venant de pays ayant une autre culture, une autre religion que celles des pays qui les recoivent. Si on prend l'exemple de l'Europe, les différentes vagues de migrations elles se sont faites entre européens. Cela n'a pas poser trop de problèmes. Puisque ces pays partagent entre eux plusieurs points communs: Ils ont presque la même culture, la même religion, les mêmes traditions etc...Ce qui change , c'est seulement la langue qui diffère d'un pays à un autre. Et puis ces gens sont facilement assimilables après à peine deux ou trois générations. Donc ce types de migrations n'inquiètent pas trop les pays accueillants.
Parcontre les vagues de migrations venant par exemple de pays musulmans, sont plutôt alarmantes voir même angoissantes pour les pays obligés de les accueillir. C'est là où le bât blesse. D'où la réticence de refuser souvent de les recevoir parce qu'ils sont, selon eux, difficilement intégrables et encore moins assimilables.
Prenez les cas de la Turquie qui pourtant fait partie de l'Europe, elle a vu ses demandes à l'adhésion de l'union européenne rejetées les une après les autres, en lui prétextant à chaque fois qu'elle ne remplissait les critères d'entrée à l'union. Comme par exemple les droits de l'homme, ou encore le droit de la minorité kurde etc...La vraie raison, c'est qu'ils inquiètent parce qu'ils sont musulmans, parce qu'ils sont différents et donc incompatible avec leur culture.

Ceci n'est qu'une des explications de l'éventuelle hésitation francaise dans la cas où il y aurait des troubles majeurs dans notre pays.
Le précédent commentaire est signé Ricrac.
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