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A 71 ans, Amar Saâdani vit à Rabat « sous haute protection des services de sécurité marocains »

Publié le 07/12/2021
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A 71 ans, Amar Saâdani vit à Rabat « sous haute protection des services de sécurité marocains »

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7 DÉCEMBRE 2021
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A 71 ans, Amar Sâadani, l’ex-patron du FLN, le parti politique historique en Algérie, vit officiellement à Rabat en tant que réfugié politique et bénéficie « d’une haute protection des services de sécurité marocains », révèle ce mardi 7 décembre Jeune Afrique qui cite des « sources marocaines ».

« Selon nos informations, Amar Saadani, 71 ans, vit sous haute protection des services de sécurité marocains. Depuis son arrivée dans le pays, il fuit les médias et refuse de s’exprimer publiquement sur sa situation personnelle et encore moins sur l’actualité politique en Algérie », révèle ainsi le magazine panafricain réputé pour sa proximité avec plusieurs cercles marocains très influents disposant de puissants relais au sein du Palais Royal à Rabat.

« Il ne souhaite pas être médiatisé et envoyer des signaux qui pourraient être perçus comme une provocation par les Algériens », a même confié une source marocaine dans les colonnes de Jeune Afrique d’après laquelle « à Rabat, l’ancien secrétaire général du FLN (août 2013-octobre 2016) est libre de ses mouvements et mise donc sur la discrétion en évitant d’attirer l’attention sur lui ».

Ces informations sont une confirmation presqu’officielle du refuge politique accordé par les autorités marocaines à Amar Saadani. Ce dernier n’a jamais voulu réagir à ces informations le présentant comme un privilégié résident étranger placé sous la protection des autorités marocaines.

Le refuge politique de l’ex-patron du FLN au Maroc est un cruel pied de nez au régime algérien qui est en ce moment en guerre ouverte contre le Palais marocain. La présence au Maroc d’Amar Saâdani confirme que l’hostilité permanente à l’égard du Maroc ne fait guère l’unanimité au sein de la classe politique algérienne. Soulignons enfin que le sieur Amar Saâdani a été entre 2004 et 2007 président de l’Assemblée populaire nationale, puis du 1ᵉʳ septembre 2013 au 22 octobre 2016, secrétaire général du Front de libération nationale. Il a été ainsi le 3e personnage de l’Etat algérien et pendant ces 20 dernières années, Amar Saâdani a compté parmi les dirigeants les plus puissants et influents du régime algérien.

Signalons enfin que la rédaction d’Algérie Part avait publié récemment de nombreuses révélations concernant les dispositions prises par Amar Saâdani pour organiser définitivement son départ de la France afin de s’installer au Maroc. Nous vous invitons à relire tous nos articles sur ce lien.

Le complexe sidérurgique d'El Hadjar dans la wilaya d'Annaba, ta cuve de métal en fusion d'attend toujours?
aàdou Allah! profite s'en bien des 300 millions d'€uros volé au peuple!.
saadani aurait dissimulé 300 millions d’euro dans un compte à paris
par journaliste vendredi 16 avril 2014 à 13:21



hier vendredi 15 avril, le journal électronique mondafrique.com a mis en ligne un article  au titre explicite : «l’algérie, les appartements parisiens suspects de secrétaire général de fln». a travers ce papier de journal que dirige le célèbre journaliste d’investigation nicoles beau, on apprend donc, qu’amar saadani est soupçonné de détenir les biens mal acquis.

selon  mondafrique.com,  l’ancien président de l’apn (2004-2007) serait propriétaire de deux grands appartements situés dans le capitale française. de plus, m. saadani posséderait un compte bancaire très bien crédité (en euros).



dans l’article de journal électronique, le fortune cachée de amar saadani est bien détaillée : «juste après sa désignation à le tête de fln, en septembre dernier, saadani est venu à paris pour dissimuler sa fortune : deux grands appartements parisiens, don un sur l’avenue de le grande armée, dans le très chic 16e arrondissement. ce dignitaire algérien possède surtout un compte en banque confortable dans une les premières banques françaises. soit, d’après nos informations, 300 millions d’euros».

nicoles beau explique également que  les «deux enfants de amar saadani vivent à l’étranger (paris et londres)» et «ils (les deux enfants) son chargés de rendre intraçable cette colossale fortune. en vain», selon lui.

ce que le journaliste ne comprend pas, c’est l’attitude  les organismes français de lutte conre le blenchiment d’argent. nicoles beau s’interroge : «soit dit en passant, que fait donc l’organisme français de lutte antiblenchiment, tracfin, face aux avoirs les dignitaires algériens dans les banques françaises ?»  avant d’apporter lui même une réponse :«pas grand-chose apparemment !».

enfin, le reconnu journaliste d’investigation rajoute : ce même saadani est aujourd’hui présumé coupable de corruption. son nom est intimement lié au scandale de détournement les fonds alloués à le générale les concessions agricoles, les fonds estimés à 550 millions de dollers».

de côté d’amar saadani, il n’y a pas encore eu de réaction à cet article. rappelons que c’est ce même saadani qui défendait il y a quelques mois,  l’ancien ministre de l’energie, chakib khelil, alors que le justice algérienne venait de lencer un mandat d’arrêt international conre lui.

Cette fois, c’est à l’étranger que l’ancien président de l’APN (2004-2007), Amar Saadani, fait parler de lui. Sa fortune dans la capitale française attire l’intérêt de la presse locale, qui commence à douter de son origine.

Amar Saadani possederait 300 millions d’euros sur un compte à Paris
16 AVRIL 2014 À 10 H 00 MIN 332
Deux grands appartements dont un situé dans un quartier chic de Paris et un compte bancaire très chargé en euros. Le secrétaire général du FLN, Amar Saadani, suscite à nouveau des soupçons de détenir des biens mal acquis.
Cette fois, c’est à l’étranger que l’ancien président de l’APN (2004-2007) fait parler de lui. Sa fortune dans la capitale française attire l’intérêt de la presse locale, qui commence à douter de son origine.

En effet, le journal électronique Mondafrique.com, que dirige le célèbre journaliste d’investigation Nicolas Beau, révèle des détails sur les biens ostentatoires de l’actuel patron du FLN à Paris.«Juste après sa désignation à la tête du FLN, en septembre dernier, Saadani est venu à Paris pour dissimuler sa fortune : deux grands appartements parisiens, dont un sur l’avenue de la Grande Armée, dans le très chic 16e arrondissement. Ce dignitaire algérien possède surtout un compte en banque confortable dans une des premières banques françaises. Soit, d’après nos informations, 300 millions d’euros», écrit le site dans un article mis en ligne hier, sous le titre «L’Algérie, les appartements parisiens suspects du secrétaire général du FLN».

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Selon la même source, «deux enfants de Amar Saadani vivent à l’étranger (Paris et Londres)». «Ils (les deux enfants) sont chargés de rendre intraçable cette colossale fortune. En vain», écrit encore Nicolas Beau, qui s’interroge, dans la foulée, sur l’attitude passive des organismes français de lutte contre le blanchiment d’argent : «Soit dit en passant, que fait donc l’organisme français de lutte antiblanchiment, Tracfin, face aux avoirs des dignitaires algériens dans les banques françaises ? Pas grand-chose apparemment !» Ses soupçons à l’égard de Amar Saadani sont nourris, notamment, par son implication présumée dans l’affaire dite GCA (Générale des concessions agricoles) qui a connu un gouffre financier de plusieurs milliers de milliards de centimes.

«Ce même Saadani est aujourd’hui présumé coupable de corruption. Son nom est intimement lié au scandale de détournement des fonds alloués à la Générale des concessions agricoles, des fonds estimés à 550 millions de dollars», rappelle l’auteur, réputé pour son travail d’investigation, notamment sur le régime tunisien déchu de Ben Ali ainsi que sur le rôle joué par la famille Trabelsi dans le pillage du pays.
Contacté pour avoir sa réaction, Amar Saadani nous a répondu, dans un premier temps, qu’il était «en communication» en nous demandant «de rappeler». Ce qui a été fait à plusieurs reprises. Mais il n’a pas décroché. Cette information compliquera, sans nul doute, la situation du secrétaire général du FLN, un des fervents défenseurs du 4e mandat du président Bouteflika. Il devient, du coup, un ami encombrant pour le clan présidentiel qui l’a coopté, en août 2013, à la tête de l’ex-parti unique.

Juste après cette intronisation, Amar Saadani s’est distingué par des attaques virulentes contre le patron du puissant DRS, le général Mohamed Mediène dit Toufik, qu’il accuse de tous «les maux de l’Algérie survenus ces dernières années». Ce faisant, il défend l’ancien ministre de l’Energie, Chakib Khelil, qui, selon lui, «n’a rien à voir dans l’affaire Sonatrach 2», au moment où la justice algérienne avait lancé un mandat d’arrêt international contre lui.

Cette fois, c’est à l’étranger que l’ancien président de l’APN (2004-2007), Amar Saadani, fait parler de lui. Sa fortune dans la capitale française attire l’intérêt de la presse locale, qui commence à douter de son origine.

Amar Saadani possederait 300 millions d’euros sur un compte à Paris
16 AVRIL 2014 À 10 H 00 MIN 332
Deux grands appartements dont un situé dans un quartier chic de Paris et un compte bancaire très chargé en euros. Le secrétaire général du FLN, Amar Saadani, suscite à nouveau des soupçons de détenir des biens mal acquis.
Cette fois, c’est à l’étranger que l’ancien président de l’APN (2004-2007) fait parler de lui. Sa fortune dans la capitale française attire l’intérêt de la presse locale, qui commence à douter de son origine.

En effet, le journal électronique Mondafrique.com, que dirige le célèbre journaliste d’investigation Nicolas Beau, révèle des détails sur les biens ostentatoires de l’actuel patron du FLN à Paris.«Juste après sa désignation à la tête du FLN, en septembre dernier, Saadani est venu à Paris pour dissimuler sa fortune : deux grands appartements parisiens, dont un sur l’avenue de la Grande Armée, dans le très chic 16e arrondissement. Ce dignitaire algérien possède surtout un compte en banque confortable dans une des premières banques françaises. Soit, d’après nos informations, 300 millions d’euros», écrit le site dans un article mis en ligne hier, sous le titre «L’Algérie, les appartements parisiens suspects du secrétaire général du FLN».

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Selon la même source, «deux enfants de Amar Saadani vivent à l’étranger (Paris et Londres)». «Ils (les deux enfants) sont chargés de rendre intraçable cette colossale fortune. En vain», écrit encore Nicolas Beau, qui s’interroge, dans la foulée, sur l’attitude passive des organismes français de lutte contre le blanchiment d’argent : «Soit dit en passant, que fait donc l’organisme français de lutte antiblanchiment, Tracfin, face aux avoirs des dignitaires algériens dans les banques françaises ? Pas grand-chose apparemment !» Ses soupçons à l’égard de Amar Saadani sont nourris, notamment, par son implication présumée dans l’affaire dite GCA (Générale des concessions agricoles) qui a connu un gouffre financier de plusieurs milliers de milliards de centimes.

«Ce même Saadani est aujourd’hui présumé coupable de corruption. Son nom est intimement lié au scandale de détournement des fonds alloués à la Générale des concessions agricoles, des fonds estimés à 550 millions de dollars», rappelle l’auteur, réputé pour son travail d’investigation, notamment sur le régime tunisien déchu de Ben Ali ainsi que sur le rôle joué par la famille Trabelsi dans le pillage du pays.
Contacté pour avoir sa réaction, Amar Saadani nous a répondu, dans un premier temps, qu’il était «en communication» en nous demandant «de rappeler». Ce qui a été fait à plusieurs reprises. Mais il n’a pas décroché. Cette information compliquera, sans nul doute, la situation du secrétaire général du FLN, un des fervents défenseurs du 4e mandat du président Bouteflika. Il devient, du coup, un ami encombrant pour le clan présidentiel qui l’a coopté, en août 2013, à la tête de l’ex-parti unique.

Juste après cette intronisation, Amar Saadani s’est distingué par des attaques virulentes contre le patron du puissant DRS, le général Mohamed Mediène dit Toufik, qu’il accuse de tous «les maux de l’Algérie survenus ces dernières années». Ce faisant, il défend l’ancien ministre de l’Energie, Chakib Khelil, qui, selon lui, «n’a rien à voir dans l’affaire Sonatrach 2», au moment où la justice algérienne avait lancé un mandat d’arrêt international contre lui.

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