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Commerce informel à Annaba Centre-ville : un bazar à ciel ouvert…

Publié le 29/04/2022
Commerce informel à Annaba Centre-ville : un bazar à ciel ouvert… Commerce informel à Annaba Centre-ville : un bazar à ciel ouvert… 28 Avr 2022 Annaba 1633 fois Centre-ville : un bazar à ciel ouvert… Le centre-ville d’Annaba est devenu une véritable fourmilière où l'anarchie bat son plein. Le commerce informel investit de plus en plus les rues particulièrement en cette dernière semaine du mois de Ramadhan. Certaines voies sont carrément fermées à la circulation automobile à l’image de la rue Mohamed Khemisti. De la place de Sidi Brahim jusqu’au marché El-Hattab, les avenues, rues et ruelles voient tous les jours des foules immenses de tout âge débarquer tel un torrent impétueux. Les automobilistes ne peuvent plus garer leurs véhicules et sont de facto chassés par les vendeurs à la sauvette. Ces derniers sont confortablement installés sur les trottoirs, voire même dans une partie de la chaussée. Ils proposent une multitude de produits, dont les prix sont à la portée de toutes les bourses. Cet immense bazar à ciel ouvert a submergé la cité qui semble être frappée par un tsunami. Des articles ménagers, des produits cosmétiques et habillements bigarrés sont étalés dans tous les coins. La ville est inondée par ce marché informel qui impose ses règles et ses attitudes et ignore les lois qui régissent l’activité commerciale. Ces produits exposés font certes le bonheur des petites bourses, mais montrent à quel point notre production nationale est aujourd'hui écartée du circuit commercial. La majorité des articles déversés le long des rues de la ville portent les fameux « Made in China » et « Made in Turkey ». Des effets vestimentaires, à la vaisselle, aux détergents et flacons de parfums et d'aérosol, tout est posé à même le sol. Au milieu de cette grande braderie, l'on tente tant bien que mal de se frayer un passage et surtout prendre garde à ne pas marcher sur ceux qui semblent narguer les autorités par leur attitude. En fin de journée, il suffit de faire un tour à travers les quartiers pour constater les innombrables tas de déchets laissés par ces pseudo-vendeurs. Des quantités énormes de cartons et de sachets jonchent les rues et donnent par conséquent, du fil à retordre aux agents de la voirie. Mais cet état de fait, à savoir l'envahissement de la chaussée par des jeunes promus occasionnellement vendeurs, venus de toutes les wilayas de l'Est du pays, n'est pas fortuit. Il est, hélas, le fruit de l’inaction (ou l’impuissance ?) des pouvoirs publics…
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Les Commentaires

Commerce informel à Annaba
Centre-ville : un bazar à ciel ouvert…
28 Avr 2022 Annaba
1633 fois
Centre-ville : un bazar à ciel ouvert…
Le centre-ville d’Annaba est devenu une véritable fourmilière où l'anarchie bat son plein. Le commerce informel investit de plus en plus les rues particulièrement en cette dernière semaine du mois de Ramadhan. Certaines voies sont carrément fermées à la circulation automobile à l’image de la rue Mohamed Khemisti. De la place de Sidi Brahim jusqu’au marché El-Hattab, les avenues, rues et ruelles voient tous les jours des foules immenses de tout âge débarquer tel un torrent impétueux. Les automobilistes ne peuvent plus garer leurs véhicules et sont de facto chassés par les vendeurs à la sauvette. Ces derniers sont confortablement installés sur les trottoirs, voire même dans une partie de la chaussée. Ils proposent une multitude de produits, dont les prix sont à la portée de toutes les bourses. Cet immense bazar à ciel ouvert a submergé la cité qui semble être frappée par un tsunami. Des articles ménagers, des produits cosmétiques et habillements bigarrés sont étalés dans tous les coins. La ville est inondée par ce marché informel qui impose ses règles et ses attitudes et ignore les lois qui régissent l’activité commerciale. Ces produits exposés font certes le bonheur des petites bourses, mais montrent à quel point notre production nationale est aujourd'hui écartée du circuit commercial. La majorité des articles déversés le long des rues de la ville portent les fameux « Made in China » et « Made in Turkey ». Des effets vestimentaires, à la vaisselle, aux détergents et flacons de parfums et d'aérosol, tout est posé à même le sol. Au milieu de cette grande braderie, l'on tente tant bien que mal de se frayer un passage et surtout prendre garde à ne pas marcher sur ceux qui semblent narguer les autorités par leur attitude. En fin de journée, il suffit de faire un tour à travers les quartiers pour constater les innombrables tas de déchets laissés par ces pseudo-vendeurs. Des quantités énormes de cartons et de sachets jonchent les rues et donnent par conséquent, du fil à retordre aux agents de la voirie. Mais cet état de fait, à savoir l'envahissement de la chaussée par des jeunes promus occasionnellement vendeurs, venus de toutes les wilayas de l'Est du pays, n'est pas fortuit. Il est, hélas, le fruit de l’inaction (ou l’impuissance ?) des pouvoirs publics…

Heureusement qu'il y a le marché de l'informel qui fait travailler des millions d'algériens !....si non il serait tous au chômage ...........le vrais fautif c'est le gouvernement! au lieu de créer des super marchés tels que "carrefour, giant, auchan, leroy merlin, brico dépot...ect et bien il n'y a rien! que des épiceries et des petits magasins de quartiers! dans cette une véritable fourmilière où l'anarchie bat son plein et qui dur depuis 60 ans? notre président nous a promis une nouvelle Algérie on l'attend toujours hélas! le changement ne peut venir que de la tête./....a savoir depuis son élection il n'a jamais mis ses pieds à Annaba? IL EST TELLEMENT BIEN à el mouradia ! que de venir voir ce merdier ??????????????????????
LES habitants ne disent rien! ils ont peur de se trouver en prison? LA VRAIE REALITE! Alors on la ferme et on se débrouille comme on peut????????????????????
Pour espérer que ça change un jour il nous faut une gouvernance jeune, pleine de vitalité, intelligente, moderne....hélas la plus part des diplômés dés qu'ils ont l'occasion ils se barrent à l'étranger! triste réalité qu'il faut avoir le courage de le dire??????????????????????
Près de 15.000 médecins algériens exercent en France


Près de 15.000 médecins algériens exercent en France
Aguellid Par Aguellid 1 octobre 2018 in Santé

Près de 15.000 médecins algériens exercent en France



Il est remarquable de relever que les politiciens et les médias passent curieusement leur temps à ne parler que des racailles d’origine maghrébine commettant ici ou là des crimes et autres délits, alors qu’ils n’abordent jamais ces dizaines de milliers de réussites d’Algériens comme ses 15000 médecins qui travaillent en France et font tourner le système hospitalier ! Il est vrai que dans l’inconscient collectif un Arabe restera toujours un « bougnoule » illettré et qu’il est inconcevable, voire insupportable pour certains de constater qu’ils sont beaucoup plus intelligents qu’eux, surdiplômés de surcroît. D’autant qu’ils gagnent bien leur vie et payent beaucoup d’impôts et de taxes, participant ainsi à la vie économique du pays, contrairement à bon nombre de parasites qui les critiquent.

4404 médecins exerçant en France au 1er janvier 2017 sont diplômés des universités algériennes, selon les données du Conseil national de l’ordre des médecins (CNOM) rapportées par Le Monde ce mercredi.

Il s’agit là d’une hausse de 60% en dix ans, précise la même source. Les médecins algériens représentent le quart des médecins nés à l’étranger exerçant en France. En ajoutant ceux nés en Algérie et diplômés en France, le nombre passe à 14 305 médecins, selon la même source.

Cependant, ces données ne concernent que les praticiens inscrits au tableau de l’Ordre des médecins. Elles n’incluent pas ceux recrutés directement par les hôpitaux sous des statuts spécifiques, indique Le Monde.

« Après l’instauration du numerus clausus dans les années 1970, on s’est retrouvé avec un manque chronique d’internes, d’où la volonté de faire venir des médecins étrangers », explique Victoire Cottereau, qui effectue une thèse sur la question des « médecins migrants ». De nouvelles législations ont ainsi permis aux médecins de venir mais sous des statuts précaires, tels que Faisant fonction d’interne (FFI) et Praticien attaché associé (PAA).

« Ils ne sont pas inscrits au Conseil de l’Ordre des médecins. Ils sont officiellement sous l’autorité d’un titulaire mais en réalité, assument la même charge de travail », souligne Victoire Cottereau. Ces médecins sont payés jusqu’à deux fois moins que leurs collègues français et contraints de patienter des années pour passer les concours qui leur permettront d’obtenir un statut plein.

Yacine Babouche – TSA [Tout Sur l’Algérie]

Ce bazar à ciel ouvert où s'active dans une agitation de fourmilière des milliers de gens dans un désordre imprescriptible, me fait penser au foisonnement prolifique et miséreux de l'inde et de son état famélique des années 50, 60, et 70 et même jusqu'à aujourd'hui par certains endroits.
Bonjour ricrac

Selon toi, quelleS solutionS peut on envisager? pour stopper cette pagaille qui dur depuis l'indépendance!.
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