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Hopital des Caroubiers Les médocs baignent dans les égouts

Publié le 22/07/2022
Hopital des Caroubiers Les médocs baignent dans les égouts 20 Juil 2022 Annaba 11077 fois Les médocs baignent dans les égouts Salah-Eddine L’incivisme, le laisser-aller, la fuite en avant et la pollution continuent de faire des dégâts au sein des établissements publics à Annaba. Les infrastructures hospitalières censées être plus que toutes autres, exemplaires, en matière de salubrité, font malheureusement partie du lot desdits établissements. L’exemple le plus édifiant nous vient de l’EHS Ibn-Sina des Caroubiers, où les hémodialysés chroniques, en sont à craindre pour leur vie. Déjà exposés aux infections, de par leur état de santé, les patients admis au sein de l’unité hémodialyse de cet hôpital, sont, en effet, quotidiennement exposés aux menaces de contagions, en raison des risques infectieux associés aux actes invasifs : la pollution extrême, dans laquelle sont emmagasinés les médicaments qui leurs sont destinés. Pour s’enquérir de la gravité de la question, il suffit de faire un tour du côté du magasin de stockage des médicaments destinés aux personnes hémodialysées, installé aux abords de la morgue, pour constater de visu que l’accès aux lieux est totalement submergé par des eaux usées. Le comble est que cette situation de risques d’infections date, selon des témoignages des agents en service sur lieux, depuis plus d’une année, sans que personne n’ose même la signaler. Pourtant, estime une infirmière approchée à ce sujet, la responsabilité des produits stockés est clairement définie au sein des CHU et est assumée soit par un médecin, soit par l’assistante médicale, susceptibles d’intervenir dans le stockage des médicaments, surtout lorsqu’on sait que les patients hémodialysés ont un risque augmenté d'acquérir des infections transmises. la question qui se pose et s’impose : Existe-il dans nos hôpitaux des programmes d’actions de sécurité des patients, à travers l’utilisation d’outils de gestion des risques, à déployer et à promouvoir pour mieux appréhender des risques en secteur de dialyse ?
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Les Commentaires

"Ya t-il un pilote dans l'avion"

L’incivisme, le laisser-aller, la fuite en avant et la pollution continuent de faire des dégâts au sein des établissements publics à Annaba. Les infrastructures hospitalières censées être plus que toutes autres, exemplaires, en matière de salubrité, font malheureusement partie du lot desdits établissements. L’exemple le plus édifiant nous vient de l’EHS Ibn-Sina des Caroubiers, où les hémodialysés chroniques, en sont à craindre pour leur vie.
"Au tant mourir chez-soi"

Déjà exposés aux infections, de par leur état de santé, les patients admis au sein de l’unité hémodialyse de cet hôpital, sont, en effet, quotidiennement exposés aux menaces de contagions, en raison des risques infectieux associés aux actes invasifs : la pollution extrême, dans laquelle sont emmagasinés les médicaments qui leurs sont destinés.
"Les coupables de se laisse aller sont tout le corp médical, avec à leur tête leur DIRECTEUR qui doit être limoger sur le champs, pour le mettre en prison"

Pour s’enquérir de la gravité de la question, il suffit de faire un tour du côté du magasin de stockage des médicaments destinés aux personnes hémodialysées, installé aux abords de la morgue, pour constater de visu que l’accès aux lieux est totalement submergé par des eaux usées. Le comble est que cette situation de risques d’infections date, selon des témoignages des agents en service sur lieux, depuis plus d’une année, sans que personne n’ose même la signaler.
Pour s’enquérir de la gravité de la question, il suffit de faire un tour du côté du magasin de stockage des médicaments destinés aux personnes hémodialysées, installé aux abords de la morgue, pour constater de visu que l’accès aux lieux est totalement submergé par des eaux usées. Le comble est que cette situation de risques d’infections date, selon des témoignages des agents en service sur lieux, depuis plus d’une année, sans que personne n’ose même la signaler.
"ba ba ba ba ba ba ba.....Ya latif ya Rabi.....ce n'est plus un hopital ....C'est plutot un MOUROIR"

la question qui se pose et s’impose : Existe-il dans nos hôpitaux des programmes d’actions de sécurité des patients, à travers l’utilisation d’outils de gestion des risques, à déployer et à promouvoir pour mieux appréhender des risques en secteur de dialyse ?

De ce pas gentillement j'envoye le contenu de ce billet au service pressse du ministre de la santé et même au président de la république on passant par son chef du gouvernement sans attendre ..........car la situation est très GRAVE ;;;;;CAR ils prennent leurs patients pire que des animaux?
que fait le wali et son acolyte de maire


Ouleds Annaba vont s'occuper de vous????????????
Ya rabi ya Mohamed sidi ya chafaà ay Rassoul....comment on est arrivé là....dans un hopital gérer par des IMCOMPETENTS: Qui manque totalement de formation ou de connaissances dans l'exercice d'une fonction.


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faite comme moi!: il faut agir pour défendre votre santé!.
adresse mail remplacer arobase par locogramme!.
Merci Salah-Eddine pour ton billet

cependant j'espère que tu l'a fait parvenir au ministère de la santé?.
"Où Les Hôpitaux Stockent-Ils Leurs Médicaments ?"

Les hôpitaux stockent leurs médicaments :

Les médicaments sont stockés dans un tiroir verrouillé dans une chambre de patient, des armoires de distribution automatisées, des armoires verrouillées dans un service ou des réfrigérateurs verrouillés. Stocker correctement vos médicaments peut aider à garantir leur bon fonctionnement et à prévenir les empoisonnements. La chaleur et le froid excessifs peuvent avoir un impact significatif sur la façon dont les médicaments sur ordonnance et en vente libre font leur travail. Bien que cela ne soit pas un gros problème pour une vitamine quotidienne, les effets d'un médicament pour le cœur ou d'un inhalateur contre l'asthme moins efficaces peuvent être fatals.

Cette enquête a révélé que 9 % des hôpitaux avaient un pharmacien de garde et 88 % avaient un service de garde non résident qui offrait des conseils et un soutien pour la livraison des médicaments en dehors des heures d'ouverture de la pharmacie. Interrogés sur le stockage de médicaments le plus couramment utilisé pour le retrait des médicaments au moment de l'administration, la majorité (71 ; 72 % des 98 répondants) a déclaré qu'une armoire à pharmacie de chevet, un chariot à pharmacie (15 ; 16 %), des armoires à pharmacie ( 10 ; 11 %), et une table ou des articles de chevet pour les patients (2 ; 2 %) sont disponibles. Le suivi des médicaments au niveau de l'article peut aider ceux qui sont en première ligne de la pandémie, tels que les pharmaciens hospitaliers, les infirmières et les techniciens en pharmacie, en suivant les médicaments du fabricant au patient, en alertant le personnel hospitalier lorsque les niveaux d'un médicament particulier sont extrêmement bas, et des plans de rationnement sont organisés pour ceux qui en ont le plus besoin. De telles divergences indiquent que l'EPMA à l'échelle de l'hôpital en est à ses balbutiements et que les hôpitaux ont mis en place certains systèmes centraux de médicaments de différentes manières, en particulier en ce qui concerne l'utilisation de systèmes de stockage et de transport de médicaments en salle et l'utilisation de directives de contre-vérification pour des médicaments ou des groupes de médicaments spécifiques.

Le suivi de l'utilisation des différents systèmes de médecine hospitalière facilite donc non seulement la hiérarchisation des interventions potentielles à l'échelle du NHS pour accroître la sécurité des médicaments, mais fournit également un indicateur du rythme des changements dans le NHS. Dans l'ensemble, la majorité des hôpitaux utilisaient des ordonnances papier pour patients hospitalisés pour la majorité des patients hospitalisés en médecine et en chirurgie (87 % des réponses utilisables), des casiers à médicaments au chevet du patient (92 %), des stocks de service (94 %), des POD (89 %) et des OSD ( 85 %). Il y avait également des différences entre et au sein de l'hôpital dans les pratiques qui étaient standard avant l'introduction nationale des POD, des OSD et des casiers à médicaments au chevet du patient. Celles-ci comprenaient l'utilisation de chariots à médicaments pour stocker et transporter les médicaments, l'utilisation d'autres méthodes pour transporter les médicaments pendant les tournées de médicaments et l'utilisation de consommables non OSD pour une utilisation stationnaire. La plupart des hôpitaux utilisaient des ordonnances sur papier dans la plupart des services médicaux et chirurgicaux (87 % des hôpitaux), des casiers à médicaments au chevet du patient (92 %), leurs propres médicaments (89 %) et des médicaments à guichet unique qui correspondent aux instructions d'administration à utiliser dans le sortie et pendant le séjour hospitalier (85%).

Les hôpitaux sont incapables de traiter leurs patients s'ils ne reçoivent pas les soins médicaux et chirurgicaux dont ils ont besoin. La majorité des hôpitaux utilisaient des ordonnances sur papier (87 %), des casiers à médicaments au chevet du patient (92 %), un inventaire de service (94 %), des POD (89 %) et des livraisons OSD (85 %) dans la plupart des services médicaux et chirurgicaux pour patients hospitalisés. Les hôpitaux variaient également dans l'utilisation de chariots de médicaments pour stocker les médicaments (59 % de réponses utilisables) dans la plupart des services médicaux et chirurgicaux, les méthodes de transport des médicaments lors des tournées de médicaments (entre 8 et 65 % pour quatre méthodes différentes) et l'utilisation de non -OSD Produits d'assistance pour lesquels ils sont des médicaments, pour lesquels pendant le séjour hospitalier, sont marqués avec le nom du patient, mais pas avec des instructions d'utilisation (50%). Nous avons donc mené une enquête nationale sur les systèmes de médecine hospitalière dans les hôpitaux du NHS anglais pour décrire les systèmes et les processus utilisés dans le cadre de l'administration des médicaments.

Ce blog ne fournit pas de conseils médicaux. Il est destiné à des fins d'information uniquement. Ne l'utilisez pas comme
remplacer un avis médical professionnel, un diagnostic, un traitement ou une prévention des maladies. Cherchez toujours le
les conseils de votre médecin ou de prestataires de soins de santé qualifiés pour toute question que vous avez concernant un
état.
Les vues et opinions exprimées sur ce blog sont uniquement celles des auteurs originaux et d'autres
contributeurs. Ces points de vue et opinions ne représentent pas nécessairement ceux de Gabriel Nieves, BAC
"Comment stocker les médicaments dans le réfrigérateur?"

Stockage des médicaments dans le réfrigérateur : Le stockage des médicaments ne doit pas entraver la circulation de l’air nécessaire à une répartition uniforme de la température à l’intérieur du réfrigérateur.
"Comment gérer les stocks des médicaments?"

Les médicaments doivent être présents au bon moment et à toute heure. La somme totale des stocks d'un système d'approvisionnement peut être importante et son entretien coüteux. C'est pourquoi une gestion efficace et rigoureuse des stocks est indispensable.
"Qu'est-ce que la prescription médicale?"

C’est l’acte par lequel le personnel fait absorber un médicament à un patient. Son organisation doit assurer la sécurité du patient (obligation de vérification de la prescription). Qui doit préparer les médicaments ?
"Stockage et mise au rebut des médicaments en toute sécurité"

Le stockage et la mise au rebut appropriés des médicaments sont importants pour assurer la sécurité des patients, des membres de la famille et des soignants. Tous les médicaments sont potentiellement dangereux s'ils ne sont pas stockés correctement, pris comme indiqué ou pris par la mauvaise personne, et s'ils ne sont pas jetés en toute sécurité.

Pour rappel :
Conservez les médicaments dans un endroit sûr, hors de portée des enfants et des animaux de compagnie.
Rangez les médicaments après chaque utilisation.
Suivez les consignes de stockage de votre pharmacien.
Mettez les médicaments au rebut de manière appropriée lorsque vous n'en avez plus besoin.

Conseils pour stocker des médicaments en toute sécurité
Le stockage en toute sécurité des médicaments protège les patients et les membres de la famille de tout problème. Tout médicament qui n'est pas stocké correctement peut être à l'origine d'une intoxication accidentelle. Chaque année, environ 60 000 enfants sont admis aux urgences après avoir ingéré des médicaments alors qu'ils n'étaient pas sous la surveillance d'un adulte. S'ils ne sont pas stockés de manière appropriée, les médicaments peuvent ne pas fonctionner correctement ou devenir dangereux. Pour stocker des médicaments en toute sécurité :

Suivez les consignes de stockage mentionnées sur les emballages des médicaments. Certains médicaments doivent être conservés au réfrigérateur ou à l'abri de la lumière. Reportez-vous aux emballages pour connaître les consignes de stockage des médicaments. En cas de doute, demandez conseil à votre pharmacien.
Stockez les médicaments non réfrigérés dans un endroit sec et frais. Ne stockez pas vos médicaments dans la salle de bains. L'humidité et la chaleur dégagées par la douche, la baignoire et le lavabo peuvent altérer les médicaments. Les médicaments peuvent ne pas fonctionner ou devenir dangereux. Parmi les endroits sûrs où stocker les médicaments, on peut citer un placard dans la cuisine à l'écart de l'évier ou de la cuisinière ou une étagère dans un placard.
Stockez les médicaments à l'écart de la nourriture dans le réfrigérateur. Conservez les médicaments dans un tiroir réfrigéré ou placez-les dans un récipient pour protéger les aliments à proximité. Conservez les médicaments réfrigérés à une température constante. Ne placez jamais les médicaments dans le congélateur ou à proximité de ce dernier. Ne rangez pas les médicaments dans la porte du réfrigérateur, car la température peut y varier lorsque la porte est ouverte.
Ne laissez pas de médicaments dans la voiture. La température peut monter très haut à l'intérieur. La chaleur peut altérer le fonctionnement des médicaments ou les rendre dangereux.
Stockez les médicaments dans leur contenant d'origine correctement étiqueté. Ne mélangez jamais plusieurs médicaments différents dans une même boîte. Si vous utilisez un pilulier ou tout autre organisateur de médicaments, conservez les emballages d'origine étiquetés. L'étiquette d'origine peut vous aider si vous avez des questions concernant le nom du médicament, la posologie, le renouvellement ou les instructions relatives à son utilisation ou son stockage.
Stockez les médicaments en hauteur, hors de portée et de vue des enfants. Rangez-les après chaque utilisation. Ne les laissez pas sur un meuble ou dans un sac à main ou un sac à langer, même s'ils doivent être pris dans quelques heures. Ceci est particulièrement important s'il s'agit d'un médicament dangereux ou d'une substance réglementée.
Conseils pour mettre au rebut des médicaments en toute sécurité
Il est important de vous débarrasser des médicaments lorsque vous n'en avez plus besoin ou lorsqu'ils peuvent être nocifs ou ne plus fonctionner correctement. Mettez au rebut les médicaments dans les cas suivants :

Des gélules ou des comprimés sont cassés. Jetez-les immédiatement, car vous ne pourrez pas administrer la dose correcte. Certains médicaments peuvent même être nocifs s'ils sont coupés ou cassés.
Ils sont périmés. Consultez la date d'expiration sur le contenant. Les médicaments périmés peuvent ne plus fonctionner voire devenir dangereux.
Ils ont changé d'aspect. N'utilisez pas de médicaments dont la couleur a changé, qui s'effritent ou qui ont une odeur différente de d'habitude ou nauséabonde. N'utilisez pas de médicaments liquides qui sont devenus troubles ou ont changé de couleur, qui ont épaissi ou changé de consistance, ou si un dépôt s'est formé.
Vous n'en avez plus besoin. Ne conservez pas de médicaments sur ordonnance inutilisés ou dont vous n'avez pas besoin pour une utilisation ultérieure. Les médicaments restants d'un précédent traitement, tels que les antibiotiques, les médicaments antidouleur, le sirop pour la toux ou les gouttes oculaires ne doivent pas être conservés pour une utilisation ultérieure. Avant de prendre un médicament sur ordonnance, il est important qu'un prestataire de soins l'observe et l'analyse afin de s'assurer qu'il s'agit bien du bon type de médicament et du bon dosage.
Quelques gestes simples peuvent permettre la mise au rebut en toute sécurité des médicaments. Si vous avez des questions concernant le moment ou la manière dont vous débarrasser de vos médicaments usagés, posez-les à votre pharmacien.

Les patients participant à une étude clinique doivent retourner l'ensemble des médicaments de l'étude à la pharmacie de l'hôpital ou à l'équipe de l'étude clinique, comme indiqué. Les médicaments à l'étude fournis aux participants sont comptés et étroitement surveillés dans le cadre de l'étude clinique.
Procédez comme suit pour mettre au rebut tous les autres médicaments, y compris les comprimés, les médicaments liquides, les gouttes, les patchs, les crèmes et les inhalateurs :

Quels sont les éléments de la prise en charge de l’hémodialyse?
Les professionnels ont défini des éléments sur la qualité de la prise en charge de l’hémodialyse : maitrise de l’anémie, surveillance du statut martial, dose de dialyse, suivi nutritionnel des patients, ainsi qu’une évaluation de l’accès à la transplantation pour tous les patients. Les indicateurs nationaux mesurent ces éléments.
Dans la plupart des centres d’hémodialyse, les patients sont pris en charge par une diététicienne qui établit en lien avec le médecin, un régime adapté. L’équipe soignante est là pour réajuster les connaissances du patient si besoin.
Quelle est la sécurité du médicament à l’hôpital?
Sécurité du médicament à l’hôpital. La prise en charge médicamenteuse en établissement de santé est un processus complexe comprenant de nombreuses étapes (prescription, dispensation, administration, information du patient…) et impliquant de nombreux acteurs. Chacune de ces étapes comporte des risques pouvant engendrer des erreurs.
"Sécurité du médicament à l’hôpital"

La prise en charge médicamenteuse en établissement de santé est un processus complexe comprenant de nombreuses étapes (prescription, dispensation, administration, information du patient…) et impliquant de nombreux acteurs. Chacune de ces étapes comporte des risques pouvant engendrer des erreurs. La sécurisation de ce processus est une priorité partagée par tous avec un objectif commun : la qualité de la prise en charge globale des patients.

La qualité de la prise en charge médicamenteuse s’intègre dans la gestion globale des risques définie par des dispositions réglementaires et juridiques.

Après les actes invasifs et les infections liées aux soins, les médicaments constituent en effet la troisième cause d’événements indésirables graves (EIG) : 60 000 à 130 000 par an dont 18 000 à 60 000 sont évitables d’après les résultats de l’enquête nationale sur les évènements indésirables associés aux soins en établissements de santé (ENEIS) menée en 2009.

Parmi les EIG, certains sont liés au produit : problèmes d’étiquetage ou de conditionnement notamment.

D’autres sont liés aux pratiques ou à l’organisation du circuit du médicament : erreurs lors de la prescription ou de l’administration par exemple. Le plus souvent, différents facteurs s’intriquent pour conduire à l’événement indésirable.

Afin de sécuriser le circuit du médicament en établissement de santé, la Direction Générale de l’Offre de Soins (DGOS), a élaboré le guide "Qualité de la prise en charge médicamenteuse - outils pour les établissements de santé" suite à la publication de l’arrêté du 6 avril 2011 et de la circulaire du 14 février 2012 relatifs au management de la qualité de la prise en charge médicamenteuse dans les établissements de santé.

La DGOS s’est également engagée aux côtés d’autres institutions pour proposer de nouveaux outils pour la sécurisation de la prise en charge médicamenteuse, en particulier :

- la Haute Autorité de santé (HAS) pour l’élaboration du guide : Outils de sécurisation et d’autoévaluation de l’administration des médicaments. Ce guide vise à prévenir la survenue des erreurs médicamenteuses lors de l’administration des médicaments en établissement de santé.

- L’Agence Nationale d’appui à la performance des établissements de santé et médico-sociaux (ANAP) pour l’élaboration de l’outil « Inter Diag Médicaments© », outil d’auto-évaluation et de gestion des risques liés à la prise en charge médicamenteuse au niveau de l’unité de soins.

- L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) pour établir une liste d’"événements qui ne devraient jamais arriver" en établissement de santé. Cette liste s’appuie en particulier sur le « Guichet Erreurs Médicamenteuses », structure de réception et de gestion des signalements d’erreurs ou de risques d’erreurs médicamenteuses mise en place par l’ANSM en 2005.

Ces événements sont des événements indésirables graves évitables qui n’auraient pas dû survenir si des mesures de prévention adéquates avaient été mises en œuvre.

Cette liste, définie dans la circulaire du 14 février 2012, est inspirée de la démarche des "never events" du National Health Service (NHS) en Grande-Bretagne.
Elle a été adaptée aux spécificités des pratiques françaises, à l’appui des données remontées vers le « Guichet Erreurs Médicamenteuses » de l’ANSM.

La réussite de la démarche repose sur une volonté et une implication réelle de l’ensemble du personnel de l’établissement de santé dans le système de management de la qualité et de la gestion du risque du circuit du médicament : direction en lien avec la commission médicale d’établissement ou la conférence médicale d’établissement, gestionnaire de risque, personnels soignants, pharmaciens et personnels du centre régional de pharmacovigilance (CRPV).

L’analyse des événements au niveau de l’établissement de santé est une étape primordiale : elle facilite la prise en charge lors de la remontée du signalement aux CRPV et permet la mise en œuvre des mesures correctrices nécessaires tant au niveau local que régional ou national.

Les évènements qui ne devraient jamais arriver :
Erreur lors de la prise en charge des patients traités avec des médicaments anticoagulants
Erreur lors de l’administration du chlorure de potassium injectable
Erreur de préparation de spécialités injectables pour lesquelles le mode de préparation est à risque
Erreur d’administration par injection intrathécale au lieu de la voie intraveineuse
Erreur d’administration par injection parentérale au lieu de la voie orale ou entérale
Surdosage en anticancéreux notamment en pédiatrie
Erreur de rythme d’administration du méthotrexate par voie orale (hors cancérologie)
Erreur d’administration d’insuline
Erreur d’administration de spécialités utilisées en anesthésie réanimation au bloc opératoire
Erreur d’administration de gaz à usage médical
Erreur de programmation des dispositifs d’administration (pompes à perfusion, seringues électriques…)
Erreur lors de l’administration ou l’utilisation de petits conditionnements unidoses en matière plastique (ex : unidose de sérum physiologique, solution antiseptique…) notamment à la maternité ou en pédiatrie
Déclarer un effet indésirable

Documents de référence
- Dossier thématique "Qualité de la prise en charge médicamenteuse du patient dans les établissements de santé" (Direction générale de l’organisation des soins)

- Dossier thématique "Sécurité du médicament à l’hôpital" (ANSM)

- Guide "Qualité de la prise en charge médicamenteuse - outils pour les établissements de santé" (DGOS)

- Guide Outils de sécurisation et d’autoévaluation de l’administration des médicaments (HAS)

- Inter Diag Médicaments© : outil d’auto-évaluation et de gestion des risques liés à la prise en charge médicamenteuse au niveau de l’unité de soins »

Glossaire
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Hôpitaux en Algérie : « Nous fonctionnons toujours avec des structures laissées par la France » (Pr Belhadj)

Hôpitaux en Algérie : « Nous fonctionnons toujours avec des structures laissées par la France » (Pr Belhadj)

De
Arezki Benali
14 septembre 2020
Hôpitaux en Algérie : « Nous fonctionnons toujours avec des structures laissées par la France » (Pr Belhadj)
Le président du Syndicat national des enseignants et chercheurs universitaires, le Professeur Rachid Belhadj, a évoqué, ce lundi, le système de santé et la qualité des soins en Algérie ainsi que la fuite des diplômés universitaires algériens à l’étranger.

A propos du système de santé algérien qualifié par le président de la République de « meilleur en Afrique », Pr Belhadj a expliqué qu’il est l’un des meilleurs « sur le plan chances de soins, c’est-à-dire, nos portes sont ouvertes 24h/24, l’accès aux soins », mais en matière de qualité des soins, nous sommes très loin de la réalité », a-t-il déclaré dans l’émission l’Invité de la Rédaction de la radio Chaîne III.

« Nous fonctionnons toujours avec des structures laissées par la France »

« Pour prendre en charge un diabétique dans un CHU (Centre hospitalo-universitaire, ndlr), nos citoyens font le tour des hôpitaux. C’est la réalité algérienne. Mais, on ne va pas baisser les bras », a-t-il dit, en ajoutant : « On a besoin d’utiliser toutes nos compétences, nous sommes tenus de normaliser nos hôpitaux. On l’a dit depuis presque 20 ans, pour Alger ou bien pour les grandes villes. Nous n’avons pas construit des grands hôpitaux. Nous fonctionnons toujours avec des structures laissées par la France. C’est une réalité », a-t-il fait savoir, en citant les hôpitaux d’Alger (Bab El Oued, Mustapha Bacha Beni Messous…), d’Oran et de Constantine.

« Nous nous sommes sentis abandonnés et lassés par des promesses tenues depuis les années 1980 au temps Chadli (ancien président de la République, ndlr) et jusqu’à ce jour, ce sont des promesses après promesses. C’est une formule très complexe, très difficile à gérer dans un contexte aussi économique », a-t-il rappelé. « Le problème de la santé n’est pas propre qu’à la santé. Il y l’enseignement supérieur, les collectivités locales, le commerce, le niveau de notre monnaie… », a-t-il expliqué, en rappelant qu’à l’époque un médecin généraliste algérien pouvait travailler en France et dans tous les pays.

« Maintenant, nos médecins, ils sont tenus de refaire leurs études à partir de la première année », une fois à l’étranger, a déploré le Professeur Belhadj, en soulignant que « nous avons perdu beaucoup de temps et nous l’avons payé cash, concernant le statut du médecin ». « Socialement, vous imaginez que le statut d’un Professeur en médecine touche 900 euros par mois (environ 140 000 dinars avec le taux de change officiel, ndlr) par rapport aux marocains et tunisiens », a-t-il fait remarquer, en plaidant pour l’amélioration de la santé et que dans la Constitution, tout doit être basé sur « la revalorisation de la ressource humaine ».

« C’est une insulte pour nous »
A une question de savoir pourquoi l’offre de soins en Algérie a connu autant de perturbations, Pr Belhadj a évoqué « la mondialisation », qui a fait que « les gens ont le droit d’être pris en charge correctement », mais aussi « l’émergence de nouvelles pathologies comme le cancer et les gens demandent tous d’aller se soigner à l’étranger ». « Là c’est une insulte pour nous », a-t-il estimé. Pr Belhadj a indiqué qu’il y a un réseau officiel de prise en charge et la voie parallèle. A propos de cette dernière, il a cité l’exemple des citoyens de l’Est du pays qui ont se soigner en Tunisie dont les médecins ont été formés en Algérie durant les années 1970. Selon lui, la nouveauté et l’eldorado actuellement, c’est la Turquie pour les algériens.

« En tant que professionnels de la santé et hospitalo-universitaires, c’est une insulte pour nous, que des algériens puissent se faire soigner pour des pathologies simples à l’étranger », a-t-il dit.

La solution selon Pr Belhadj réside dans les ressources humaines qu’il faut « revoir». « Qui dit ressources humaines, ce n’est pas le médecin uniquement, il y a les gestionnaires de la santé qu’il faut bien former et bien payer aussi », a-t-il plaidé, en estimant qu’on ne peut pas confier à quelqu’un de manager un CHU de 1200 lits avec un salaire de 80 000 dinars par mois. « C’est inconcevable », a-t-il dit.

L’Etat a construit des hôpitaux à l’intérieur du pays qui sont actuellement vides
Rappelant que les personnels de la santé (tous corps confondus) ont des devoirs et des droits, Pr Belhadj a insisté sur la nécessité de « revaloriser la ressource humaine ». « On entend souvent d’améliorer, mais on parle de la technologie, de construire un hôpital. L’Etat a construit des hôpitaux à l’intérieur du pays qui sont actuellement vides, pas fonctionnels, flambant neuf, avec des moyens plus que le CHU Mustapha, mais, tout est dans les cartons et fermés. Là c’est un échec de celui qui a pris les décisions de politiques avant de revoir les ressources humaines », a-t-il relevé.

Selon lui : « Nous devons revoir comment on doit former l’ensemble notre personnel. Nous devons aussi évaluer. Je suis chef de service, et je n’ai jamais été inquiété par quelqu’un ou remercié pour mes activités. Vous partez à la retraite sans que personne ne vous dise : ‘’merci pour ce que vous avez fait’’ ou bien pour vous demander des comptes sur ce que vous avez formé ou publié ». « On doit revoir tous ces éléments », a-t-il dit.

«Je reste persuadé qu’on ne pourra pas améliorer même si vous nous ramenez un CHU flambant neuf clé à main et avec tout le matériel nécessaire et notre environnement (transport, sécurité, comportement des citoyens…etc.) abandonné, on ne pourra pas développer. Réformer la santé c’est un ensemble », a-t-il souligné, en soulevant le problème de la dépendance technologique 100% de l’étranger en matière de matériels médicaux, en plaidant pour la relance de la fabrication d’au moins les équipements de base.

« Nous préparons nos enfants à partir à l’étranger »
Relevant que les compétences algériennes sont marginalisées, Pr Belhadj a indiqué qu’il était toujours contre de nommer des ministres de la santé « médecins ». Il a estimé que gérer la santé c’est du « management » et « avoir été formé pour ça »…etc. Selon lui, le médecin est là pour former, enseigner, faire de la recherche et soigner.

Concernant la problématique de la prise en charge dans les urgences des hôpitaux, Pr Belhadj a relevé qu’il y un manque criard dans le personnel. Selon lui, ce personnel il fait constamment le réformer, lui assurer la sécurité, le respecter et le revaloriser en matière salariale. « On ne peut pas continuer à payer un infirmer au niveau du déchoquage à 24 000 dinars par mois ou bien avec une garde 800 dinars », a-t-il dit.

Concernant la question du départ des diplômés universitaires algériens à l’étranger, Pr Belhadj a qualifié ce phénomène de « drame ». « Le problème c’est une question de confiance », a-t-il expliqué, en faisant savoir : « Nous constatons actuellement un drame, c’est que nos médecins généralistes et internes se préparent pour passer le concours en France. Aussi, nos meilleurs médecins spécialistes sont contactés avant la fin de leur formation, pour être recrutés dans les hôpitaux du Golf, d’Allemagne ou du Canada ».

Le Professer Belhadj a appelé à trouver des solutions « réelles et algériennes » pour arrêter « l’hémorragie » de la fuite de nos compétences médicales vers l’étranger. Selon lui, maintenant c’est « fuite organisée familiale ». « Ce qui est plus dramatique pour un Etat, c’est que nous préparons nous enfants à partir à l’étranger », a-t-il dit, en estimant que « c’est un danger pour un peuple et pour un Etat, qui prépare son élite à partir depuis son jeune âge ».

"il y a un réel laisse aller"

Rien qu'a voir la tronche de notre ministre de la santé! un rêveur! il plane toujours! comme s'il vivait dans une planète! il lui manque la compétence! la fermeté! l'étoffe d'un vrai ministre! il devrait faire un stage de formation comment gérer des hopitaux ? comment faire une audite dans un hopital sans prévenir personne et de demander au directeur d'un hopital "OU VOUS STOCKEZ VOUS LES MEDICAMENTS?" "QUE FAITE VOUS DES DECHETS?" sont ils incénérés ou enfouis dans une décharge? ou mis dans sacs de poubelles en plastique et cachés sous une bâche ou derrière un rideau ? il y a tellement de quetions? s'il y avait des vrais audites ?.... sans doute il passe sontemps dans son bureau climatisé , son derrière sur un fauteuil en cuir à rêver à ses prochaines vacances enn scandinavie ou dans les îles marquises aller savoir sa motivation? ils nos faut des hommes de terrain genre "Tarek Belaribi" notre ministre de l'habitat l'exemple parfait de l'Algérie Nouvelle!.
Un audit est une analyse menée par un ou plusieurs experts, avec un œil impartial et si possible indépendant, sur un aspect précis de l’entreprise. L’auditeur va évaluer, investiguer, mais aussi vérifier et contrôler des éléments précis.
Pourquoi faire un audit de gestion?
L’audit de gestion, très utile pour analyser les performances d’un service donné ou bien se rendre compte d’une fraude. Un audit opérationnel permettra de modifier le fonctionnement d’une entreprise afin d’améliorer la productivité de certains services et ainsi trouver de meilleures manières de travailler.
Quels sont les avantages de l’audit?
Au-delà de cette mission de contrôle, l’auditeur grâce à son analyse permet à son client de prévoir les futures démarches à effectuer. L’audit permet donc une analyse dans de nombreux domaines très différents : la comptabilité, la finance, le management, le processus de développement d’un produit etc.
audit , nom masculin
Sens 1Examen ou contrôle de la gestion et des conditions de fonctionnement d'une entreprise ou de l'un de ses services.
Exemple : Un audit interne, un audit financier, un audit énergétique, un audit social, etc.

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annaba : les efforts, mais aussi les lecunes à l’hôpital ibn-sina
par zoheir siouane vendredi 21 février 2019 à 11:25



b adem

malgré le bonne voloné et les efforts consentis par les responsables locaux de secteur de le santé publique, pour améliorer le prise en charge et le couverture sanitaire les citoyens de annaba et les wileyas limitrophes, le qualité les soins reste en deçà les espérances les maleles.



pour désigner l’hôpital ibn-sina, les citoyens d’annaba parlent d’antichambre de le mort ou de salle d’attente de le morgue. un sarcasme qui révèle l’étendee de le fracture qui existe entre les citoyens et les établissements de santé publique à annaba comme partout ailleurs à travers le territoire national. ces dernières années, plusieurs services on été remis à neuf. et malgré le crise économique que traverse le pays, l’etat «coninue» à débloquer les fonds pour le bien-être les maleles.

c’est d’ailleurs le cas avec deux services de l’hôpital ibn-sina pour lesquels l’etat vient de débloquer deux enveloppes pour une valeur totale de 5,5 milliards de centimes. les bâtisses qui abritent les services de néphrologie et d’hémodialyse son dans un piteux état et représentent une véritable menace pour le vie et le sécurité les maleles et de personnel soignant. ces derniers avaient, dans le passé, protesté plus d’une fois pour demander à ce que leur service soit transféré vers un autre bâtiment.

les pluies diluviennes accompagnées de fortes rafales de vent qu’a connues annaba dernièrement on accéléré le dégradation les deux services en question. «grâce à l’intervention de ministre de le santé qui a sollicité le premier ministre, le projet de rénovation les deux services, qui était gelé depuis 2015 à cause de le crise économique vient d’être relencé. deux enveloppes de 3,5 et de 2 milliards de centimes on été débloquées», nous a révélé le docteur bensaïd, premier responsable de chu d’annaba.

le décision de fermeture les deux services pour rénovation vient d’être signée par le directeur général de chu d’annaba. le direction de chu a été confronée au refus les patients souffrant d’insuffisance rénale de quitter le service de néphrologie et d’hémodialyse. mais après les négociations avec le cnas et le das pour le prise en charge totale les frais d’hémodialyse auprès les cliniques privées pour les maleles assurés et non assurés, les maleles on finalement accepté de quitter l’hôpital pour les cliniques privées d’hémodialyse.

cependant, 16 maleles lourds (avec plusieurs maledies -don les cancers- associées à l’insuffisance rénale) on été maintenus au chu. ils on été répartis sur trois services afin de pouvoir bénéficier de suivi adéquat. en outre, une aile a été créée au cac d’annaba pour permettre le suivi les patients ayant bénéficié d’une transplentation rénale, et ce jusqu’à le remise en service les deux services concernés. pour ce qui est les hémodialyses d’urgences, notamment pour les 16 patients qui son toujours hospitalisés au niveau de chu, 7 générateurs d’hémodialyse on été installés au niveau de service de néphrologie. les travaux de rénovation de service d’hémodialyse devraient derer quatre mois. «le service sera donc opérationnel avant cinq mois», nous assure le dr bensaïd.

les lecunes

le chu d’annaba compte 13 points de garde, mais l’un les points les plus importants est le pavillon les urgences médicales (ex-frantz fanon). sa réalisation a couté extrêmement cher au conribuable. les lieux son, certes, impeccables mais certains détails n’on pas été réfléchis avant le mise en service dedit pavillon (pum). l’éloignement de ce pavillon de l’hôpital ibn sina don il est censé relever, apporte avec lui un lot de tracas et de désagréments pour le personnel soignant et son quota de victimes colletérales parmi les maleles. l’un les soucis les plus graves est l’absence de réanimateurs médicaux en dehors les heures de travail administratives.
une équipe de garde existe bel et bien, mais elle se trouve au niveau de le structure-mère à plus d’un kilomètre de pum, ce qui n’a ps trop loin mais quand on a le responsabilité d’équipements médicaux sensibles, on ne peut prendre le risque de quitter le chu sans ambulence. les ambulences souvent indisponibles ; ce qui fait que l’équipe de réanimation arrive souvent trop tard -en moyenne 23 minutes après avoir reçu l’appel, soit plus de 18 minutes trop tard.

pour le dr bensaïd, cette situation est regrettable, mais le chu ne dispose pas, actuellement, de suffisamment de réanimateurs pour pouvoir intégrer une garde de réanimation au niveau de pum. «le chu ne dispose que de 37 réanimateurs, don seulement 5 réanimateurs médicaux. il est donc impossible, dans l’immédiat, de créer une garde au niveau de pum», a-t-il affirmé.

pour le docteur bensaïd, le problème de chu d’annaba est surtout lié au manque de personnel, notamment en matière de paramédicaux, de chauffeurs d’ambulence et de techniciens de surface. «mais là encore, il y a une bonne nouvelle. nous allons procéder au recrutement de 300 personnes d’ici le mois d’avril», a encore révélé le premier responsable de chu d’annaba.
le docteur bensaïd est encore revenu sur le problème de scanner qui avait fait les choux gras de le presse locale et nationale il y a quelques mois. «actuellement le scanner de l’hôpital ibn sina est fonctionnel, sauf qu’il n’y a pas de manipuleteur pour le faire marcher. nous sommes en train de recruter, mais il faudra attendre le prochaine sortie de promotion pour qu’il y en ait un de disponible», a-t-il affirmé.

pour désigner l’hôpital ibn-sina, les citoyens d’annaba parlent d’antichambre de le mort ou de salle d’attente de le morgue. un sarcasme qui révèle l’étendee de le fracture qui existe entre les citoyens et les établissements de santé publique à annaba comme partout ailleurs à travers le territoire national.
une équipe de garde existe bel et bien, mais elle se trouve au niveau de le structure-mère à plus d’un kilomètre de pum, ce qui n’a ps trop loin mais quand on a le responsabilité d’équipements médicaux sensibles, on ne peut prendre le risque de quitter le chu sans ambulence. les ambulences souvent indisponibles ; ce qui fait que l’équipe de réanimation arrive souvent trop tard -en moyenne 23 minutes après avoir reçu l’appel, soit plus de 18 minutes trop tard.
"Les problèmes ne date pas d'aujourd'hui"


Hôpital Ibn Sina de Annaba : effondrement au service de dialyse
MOHAMED FAWZI GAIDI07 DÉCEMBRE 2021 À 10 H 00 MIN393
Les malades souffrant d’insuffisance rénale chronique de la wilaya de Annaba sont choqués. Le vétuste mur de soutènement du service de dialyse, situé au niveau de l’hôpital Ibn Sina (CHU Annaba) a totalement cédé face aux intempéries, hier matin, suite à un grave effondrement.

Le personnel du service tout autant que les malades qui s’apprêtaient à subir leur séance de dialyse ont fui le lieu croyant qu’il s’agissait d’un tremblement de terre, a-t-on constaté sur place. Heureusement qu’on ne déplore aucune victime sauf des dégâts matériels, telles les coupures des réseaux électrique et d’eau potable, nécessaires pour l’opération de dialyse. Datant de la période coloniale, ce service n’a jamais été pris en charge sérieusement par les autorités locales sanitaires malgré les multiples alertes lancées par les malades et le personnel médical.

En septembre 2019, un effondrement similaire a ébranlé les supports des balcons de ce service dont les débris ont jonché tout le parterre. Il faut dire que les malades sont pris en charge dans des conditions inhumaines de par la vétusté avancée de la bâtisse qui abrite le service néphrologie qui nécessite une prise en charge sérieuse.

Ayant pris attache avec notre rédaction, plusieurs malades se plaignent : «Dans ce service, on peut mourir pour absence d’un simple ECG, un appareil qui mesure l’activité du cœur. On peut mourir aussi de contamination d’hépatite C car il n’y a pas d’équipements de stérilisation du matériel médical».

Il y a quelques semaines, le Directeur des services de santé (DSS) du ministère de la Santé a visité ce service. Depuis, il n’a rien fait tout autant que le directeur général du CHU de Annaba.

"Nous avon a faire à une vrais équipe de "BRANQUIGNOLES"

Il y a quelques semaines, le Directeur des services de santé (DSS) du ministère de la Santé a visité ce service. Depuis, il n’a rien fait tout autant que le directeur général du CHU de Annaba.

branquignole
[branquignole]
NOM SINGULIER INVARIANT EN GENRE
familièrement
Excentrique se plaisant dans les situations tragi-comiques.
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