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Stade de Annaba Pose du tapis artificiel en fibres synthétiques

Publié le 29/09/2022
Stade de Annaba Pose du tapis artificiel en fibres synthétiques Après les directives du ministre de la Jeunesse et des Sports, Abderrazak Sebgag, pour accélérer les travaux au niveau des différents stades retenus pour le CHAN-2022, programmé en janvier prochain, tout semble avancer, depuis, dans le bon sens. Au stade du 19-Mai 1956 de Annaba, c'est désormais la dernière ligne droite. L'entreprise publique économique de bâtiments industrialises «BATIMETAL», filiale du Groupe IMETAL, a annoncé la pose du tapis artificiel en fibres synthétiques, au niveau de ladite infrastructure, qui sera renforcé avec du gazon naturel «très prochainement». Cette technologie est utilisée pour la deuxième fois en Afrique après le nouveau stade Abdoulaye-Wade du Sénégal. Les dirigeants de la Confédération africaine de football, attendus demain en Algérie pour le tirage au sort du CHAN, samedi, sont très satisfaits, en indiquant que l'Algérie n'accuse pas de retard dans ce sens. Mohamed BENHAMLAMohamed BENHAMLA 00:00 | 29-09-2022 Share
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FOOTBALL
Les billes noires des terrains synthétiques, sources de cancers ?
Ces granulés noirs en caoutchouc qui jonchent les pelouses artificielles contiendraient de nombreuses substances potentiellement cancérigènes.
Par B.M. - 09 nov. 2017 à 17:25 | mis à jour le 09 nov. 2017 à 18:39 - Temps de lecture : 3 min
6 | | Vu 31337 fois

Les billes noires des terrains synthétiques permettent de faire tenir debout les brins d'herbe artificielle et d'allonger la durée de vie de la fausse pelouse. Photo d'illustration Pixabay/Domaine public
Quel footballeur amateur réduit à jouer sur un terrain en ghorre n'a jamais rêvé, ces quinze dernières années, que son club investisse dans un terrain synthétique "nouvelle génération" ? Probablement aucun.

Mais la tendance pourrait changer après l'enquête du mensuel So Foot. Dans son édition de novembre, publiée ce jeudi, le magazine spécialisé dans le ballon rond s'est penché sur l'impact sanitaire de ces pelouses artificielles recouvertes de petites billes noires.

Des billes de caoutchouc indispensables
Vous savez, ces petits granulés qui pénètrent dans vos chaussettes, vous gênent dans vos crampons, infestent vos sacs de sport et collent à votre peau dès lors que la pluie fait son apparition ?

Oui, ceux-là, qui jonchent les terrains synthétiques par dizaines de milliers. Composées de restes de pneus broyés, ces petites billes de caoutchouc permettent aux brins d'herbe artificielle de tenir debout, d'améliorer la résistance du terrain face aux multiples chocs subis et ainsi d'en améliorer la durée de vie (de quatre à dix ans).

23 000

Il faut 23 000 pneus en fin de vie pour produire le nombre de granulés nécessaire à la création d'un seul terrain de onze contre onze.

Cela, vous le saviez sans doute. Ce que vous ne saviez peut-être pas, c'est qu'elles contiendraient près de 200 substances "nocives". Dont certaines potentiellement cancérigènes. L'Université de Yale (États-Unis) en a recensé exactement 190 et devrait les citer avec précision dans une étude à paraître prochainement.

Arsenic, plomb...
So Foot rappelle en outre qu'en 2008, des chercheurs américains avaient relevé la présence d'arsenic, de chrome et de plomb dans ces billes noires. Ces mêmes substances signalées cinq ans plus tard par un journal néerlandais.

Leur concentration varie d'un échantillon à l'autre, mais des scientifiques s'inquiètent notamment de l'effet "cumulatif" de ces hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP). Des particules fines qui ont tendance à coller à la peau, dans les cheveux, ou, pire, à s'infiltrer dans les plaies.

Or les blessures sont monnaie courante sur ce type de surface. Une chute ou un tacle sur ces terrains synthétiques provoque presque systématiquement une brûlure. Les supporters lyonnais gardent certainement en mémoire la blessure infectée de la joueuse suédoise Lotta Schelin après un tacle sur une pelouse artificielle.
a méditer???????????????????????????????????
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