C'est grâce à Salaheddine que cette incursion dans le monde particulier des harragas a été possible. Nous nous étions rencontrés sur la terrasse d'un café juste après qu'il eut été refoulé de Tunisie suite à une tentative avortée d'émigration clandestine. Après que Salaheddine eut trouvé la combine pour mettre en contact Liberté avec «edjemaâ», le feu vert était alors donné pour entamer un reportage dans un camp clandestin réservé à la formation et à l'entraînement des harragas devant tenter l'aventure vers l'inconnu. Notre journaliste se fait passer alors pour un candidat à l'émigration clandestine.
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Reportage : Clandestins. Notre reporter s'est fait passer pour un clandestin.
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