Le moins que l’on puisse dire, aujourd’hui, est qu’une lourde tâche attend les nouveaux élus devant la situation qui prévaut actuellement dans la ville de Sidi Brahim.
En effet, «La Coquette» a perdu de son lustre d’autan devant la dégradation continue de son cadre de vie, en raison de multiples problèmes liés au manque d’entretien de ses routes devenues, dans certains quartiers, incarrossables, l’insalubrité, le laisser-aller, etc. Il n’y a pas seulement cela, racontent des citoyens, il y a aussi le problème d’éclairage public dans certaines cités de la périphérie, le manque d’assainissement, les regards bouchés qui sont parfois à l’origine des inondations, certains lieux de la ville devenus des dépotoirs, d’autres, le royaume des délinquants.
Par ailleurs, la circulation devient de plus en plus difficile à l’intérieur de la ville en raison de la lenteur de certains travaux. Ainsi, les préoccupations des Annabis sont donc nombreuses et s’interrogent-ils sur le choix des nouveaux gestionnaires de la ville qui sont appelés à soigner l’image de Annaba. Annaba «La Coquette» qui était, jadis, un havre de paix.
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