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Annaba. Rencontre régionale sur la médecine physique et de réadaptation

Publié le 27/12/2008
Les méthodes de rééducation fonctionnelle et la prise en charge de paralysies provoquées par des traumatismes ont été à l’ordre du jour d’un séminaire régional ouvert mercredi à Annaba sur «la médecine physique et de réadaptation». Cette rencontre scientifique, organisée à l’initiative de l’Etablissement hospitalier spécialisé (Ehs) de Seraïdi, a regroupé les cadres de la santé et les techniciens spécialisés en médecine physique et de réadaptation des wilaya de l’Est du pays, afin d’étudier, selon ses organisateurs, les moyens de prise en charge et de réadaptation des personnes atteintes de handicaps moteurs tels que les paralysies complètes ou partielles. Les organisateurs ont mis l’accent sur l’aspect «sensibilisation» dans les différentes infrastructures sanitaires dotées de services spécialisés dans ce domaine, «en vue d’une meilleure prise en charge de ces cas, en tenant compte de l’impact psychologique des maladies». Le Dr Nouacer, chef de service de médecine physique et de réadaptation, a indiqué que ces services spécialisés ont été dotés, durant les cinq dernières années, d’équipements de réadaptation et de médecine physique qui ont permis «d’atteindre les normes des pays avancés en matière de prise en charge» et à «améliorer la fonctionnalité des organes de plus de 60 % des cas traités». Selon ce spécialiste, la perte totale ou partielle de l’usage d’un membre constitue un problème qui se pose actuellement «avec acuité» à la médecine, au regard de l’augmentation des accidents de la route et des hypertensions, celles-ci provoquant parfois des handicaps chroniques qui exigent des prises en charge médicales, notamment pour la réadaptation des membres. Les débats ont été axés sur les diagnostics et la prise en charge des malades, l’examen de cas traités dans les hôpitaux spécialisés de Seraïdi (Annaba), et de Ras El-Ma (Sétif), sur les méthodes de rééducation fonctionnelle des enfants et sur des cas de prise en charge de paralysies provoqués par des traumatismes nerveux. L’EHS de Seraïdi dispose d’une capacité d’accueil de 120 lits réservés à la prise en charge de la réadaptation fonctionnelle, et accueille quelque 500 malades par an, originaires de 17 wilayas de l’Est algérien. [LA NOUVELLE REPUBLIQUE - 27-12-2008]
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Les Commentaires

bonjour .je suis un citoiyen qui habitte annaba .jai un enfant malade d une maladie chronique qui nicicite un traitement a l hopital chaque mois.
et comme j habitte annaba on ma orienté a l hopital pediatrique SAINT TERESSE et depuis plus de 3 anné que mon fils traite au service d urgence et dechocage.
alors je singal le desordre total dans se service avec un efectif qui na rient a voir avec la medcine et rien a voir avec l humanité.
je singal l abus de pouvoir de madama WAHIDA chef service.
et je singal l attitude de l equipe de nuit qui au lieude veiller a les malades
ils dorent a tours de role.et si jamais un enfant pleurt en le trete avec des gros mots.
je lance un apeele a M LE MINISTRE DE SANTE d intervenire .
Oui mon ami Amar, malheureusement tu a raison et c'est degoutant, la bien-traitance qui est devenu un standard n'existe que avec tchipa ou maarifa. Mais tant que c'est l'anarchie, hopital ou souk, il n'y aura pas beaucoup de difference.
Je pense que les agissements deplaces envers les malades concernent egalement les petits enfants, a commencer par les enfants de lit de votre enfant (propos deplaces, voire humiliants et frisant l'insulte) sont intolerables et inadmissibles.
Parfois de certains membres du personnel hospitalier, mais qlq "brebis galeuses" peuvent jeter le discredit sur le "troupeau entier" et ruiner la reputation d'un etablissement.
Je pense k'il faut trouver d'autres temoins et porter plainte aupres du Procureur General. Vos temoignages de propos "abondant" de poste de service de nuit, abus du pouvoir d'un chef de service medical et "gros mots d'insulte" risquent de ne pas suffire, surtout venant d'une seule personne, l'hopital a les moyens de se payer de bons tchipas, sauf si des propos, remarques ou plaintes ont deja ete poses par d'autres patients sur ces-dites "brebis-galeuses", auquel cas il ne prendra peut-etre pas eternellement le risque de rester solidaire avec ces elements.
Il faut eduquer, donner les moyens et sanctionner s'il le faut, la rigueur ferait rentrer tout le monde dans les rangs.
Je vous souhaite bon courage et j'espere que cette situation va rapidement s'ameliorer....
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