«La problématique de l’eau dans les pays sud méditerranéens», est le thème générique des 4èmes rencontres internationales de l’économie de l’environnement qui regroupe, depuis mardi, à Annaba, des spécialistes maghrébins d’Algérie, de Tunisie et du Maroc.
Les intervenants ont eu l’opportunité d’approfondir la réflexion autour de «l’analyse de la gestion de l’eau et la problématique qu’elle engendre entre sa disponibilité, sa répartition sociale et économique», tout en mettant en relief les risques qu’entraînent les différents dommages que cette ressource vitale subit dans les pays du Maghreb à stress hydrique durable, comme cela était le cas de l’Algérie.
L’analyse devra rendre nécessaire de préciser la nature de l’eau en tant que ressource naturelle, en même temps que bien marchand, dans le cas des pays du Maghreb, souffrant justement de stress hydrique, et accélérant la libéralisation de leurs sphères économiques, dont la marchandisation du liquide précieux. Les axes thématiques se sont articulés autour des questions liées aux «notions de développement économique et de transformation sociale».
Les Commentaires
L'Algérie dispose actuellement de 66 barages pour une capacité de 7 milliards de M3. Ce nombre devrait croitre ( 19 nouveaux barages programmés au titre du plan quinquennal 2010/2014 ) pour permettre une capacité avoisinant les 10 Milliards.
A savoir:
Le programme de dévellopement a permis de mettre 1000 petits barages en place, situés dans les montagnes avec une capacité de stocage de 120 Mm3 ( La moitié de cette infrastucture a été détériorée sous l'effetdes innondations et de l'envasement ).
Le potentiel des ressources en eau en Algérie est de 17 milliards de M3.
A mon avis il reste encore beaucoup a faire pour trouver des solutions pour la récupération des eaux des innondations qui se perdent dans la mer, je dis malgré tout notre gouvernement fonce pour augmenter les constructions des barages.
Je pense que de notre pays fait le maximun pour augmenter les retenue en eau.
Si seulement il pouvait faire de même pour le travail pour retenir nos jeunes.
L'eau désalée, du fait de son coup élevé, ne peut être utilisé que pour la consommation domestique.
*- Coût énergétique encore élevé.
*- Rejet des saumures concentrées au doubles de la salinité naturelle en mer ou injectées dans le sol.
*- Rejet d'eau chaudes en mer dans le cas de distillation.
*- Emploie de produits chimiques pour nettoyer les menbranes (chlore).
*- Trace de cuivre échappés des installations.
*- AUCUNES l'égislation spécifique consernant la potabilité issue de ces traitements.
*- Où vont les engrais, pecticides et désherbants utilisés par les agriculteurs ou les particuliers ?;
*- Où finiront les eaux de pluies chargées de déjections sur les trottoirs ou d'huiles des autoroutes ?
*- Et tous ces antibiotiques, les hormones des pilules, les nitrates naturels que nous déversants en urinants? Et nos lessives? Et nos shampoings?.
*- Nos eaux usées poluent les rivières et les nappes souterraines si elles ne sont pas traitées ( TOUTES LES COMMUNES DOIVENT ASSAINIR LEURS EAUX ).
COMMENT LAVER " L'EAU"?
1)- Acheminer l'eau sale vers les stations d'épurations.
2)- Vous pouvez reverser l'eau lavée dans une rivière.
Si non l'eau non lavée rend MALADE " l'eau qui TUE": Virus, bactéries, petits vers, larves provoquent de graves diarrhées et des épidémies de typhoîdes, choléra, dysenterie.
Quelques mesures simples sont utiles: éloigner les animaux des puits, installés des sanitaires et surtout séparer les eaux usées des eaux de boissons.
La question ( que je me pose ) est ce que nos villages et nos villes sont-ils équipés des stations d'upurations?.