Des chaussées défoncées à l’année - Les chaussées de deux cités implantées au cœur du chef lieu de la wilaya, celles de Béni M’Haffeur et de Zaafrania, se trouvent dans état de délabrement avancé. Cette situation a été dénoncée à maintes reprises, aussi bien par les habitants que par les automobilistes, aux autorités locales, en vain. Ces chaussées défoncées depuis la nuit des temps, en l’absence des services concernés, font l’objet ces derniers jours de la colère et du mécontentement de tout un chacun. Pour la cité Zaafrania, précisément la rue Guasmi Amar menant au lycée Abou Marwane et au Technicum, l’état de la chaussée parle de lui-même. Des trous, des creux, des cavités, des alvéoles, des bosses, et aussi des fuites d’eau, caractérisent cette voie. Les enseignants, les élèves, les travailleurs et même les étudiants de la faculté de médecine, mais surtout les automobilistes qui empruntent tous cet itinéraire, font face à un calvaire quotidien. Quant à la situation de la chaussée au niveau de la cité M’Haffeur, reliant l’autoroute à la rue Ernesto Che Guevara, est pratiquement semblable sinon pire. Car, en matière d’usage, ce passage à agglomération importante est emprunté, outre les véhicules légers, par les mini et grands bus de transport en commun. C’est dire que la circulation routière, à ce niveau, patauge dans des répercussions négatives ; l’embouteillage et l’embrouillamini. Sur ce, les habitants et les usagers de ces deux chaussées, lancent à nouveau des cris d’initiative et d’agissement aux différents responsables de la commune, afin d’intervenir et d’entamer une opération de réfection.
L'est républicain > 11/04/07 > Toufik Ouazaa
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