C’est devenu une fâcheuse habitude que d’entamer des travaux de terrassement en plein centre ville. Bien accueillis par la population certes, mais combien de désagréments ils causent que cela soit pour ceux qui ont à emprunter ces voies ou alors les commerçants qui ont déjà à se plaindre des foires et autres braderies. Seul le marché informel, comme l’a cité notre collègue dans un précédent article y gagne. Les rues de la ville qui présentent des nids de poules et dont les bouches d’égouts rejettent en plusieurs endroits les eaux usées, parce que saturées, sont devenues par endroits impraticables. Le code de la route n’a plus lieu d’être respecté, étant donné qu’on est obligé de rouler à droite et à gauche pour éviter les gouffres se trouvant sur la chaussée. Actuellement des travaux sont menées à coups d’engins et de matériels lourds sur la rue El Kods et la rue Aïssaoui où se trouvent la plupart des gargotes et restaurants alimentant une bonne partie des ouvriers et commerçants qui ne peuvent pas rentrer chez eux pour déjeuner ou diner. Imaginez ce que ressentent ces gens en mettant quelque chose dans la bouche tout en subissant les relents et les puanteurs dégagées par les canalisations à ciel ouvert. N’aurait-il pas été plus pratique de procéder à ces travaux durant la saison estivale et éviter ainsi cette gadoue dans laquelle sont obligés de patauger les passants désireux de faire leurs emplettes dans les magasins avoisinant les lieux. En tous les cas, la chose est là et il faut l’accepter car cela va débarrasser la ville de ces problèmes de rejet et permettre aux ménagères de ne plus voir leurs éviers ou toilettes bouchées. Car parfois ce qui nous parait anormal amène des choses bénéfiques pour tous et en cet état de choses, c’est pratiquement sûr, étant donné qu’après ces travaux de remise en état des canalisations d’évacuation des eaux usées, suivra un revêtement en bitume.
lestrepublicain -29 décembre 2013- Ounissi Manel
C’est devenu une fâcheuse habitude que d’entamer des travaux de terrassement en plein centre ville. Bien accueillis par la population certes, mais combien de désagréments ils causent que cela soit pour ceux qui ont à emprunter ces voies ou alors les commerçants qui ont déjà à se plaindre des foires et autres braderies. Seul le marché informel, comme l’a cité notre collègue dans un précédent article y gagne. Les rues de la ville qui présentent des nids de poules et dont les bouches d’égouts rejettent en plusieurs endroits les eaux usées, parce que saturées, sont devenues par endroits impraticables. Le code de la route n’a plus lieu d’être respecté, étant donné qu’on est obligé de rouler à droite et à gauche pour éviter les gouffres se trouvant sur la chaussée. Actuellement des travaux sont menées à coups d’engins et de matériels lourds sur la rue El Kods et la rue Aïssaoui où se trouvent la plupart des gargotes et restaurants alimentant une bonne partie des ouvriers et commerçants qui ne peuvent pas rentrer chez eux pour déjeuner ou diner. Imaginez ce que ressentent ces gens en mettant quelque chose dans la bouche tout en subissant les relents et les puanteurs dégagées par les canalisations à ciel ouvert. N’aurait-il pas été plus pratique de procéder à ces travaux durant la saison estivale et éviter ainsi cette gadoue dans laquelle sont obligés de patauger les passants désireux de faire leurs emplettes dans les magasins avoisinant les lieux. En tous les cas, la chose est là et il faut l’accepter car cela va débarrasser la ville de ces problèmes de rejet et permettre aux ménagères de ne plus voir leurs éviers ou toilettes bouchées. Car parfois ce qui nous parait anormal amène des choses bénéfiques pour tous et en cet état de choses, c’est pratiquement sûr, étant donné qu’après ces travaux de remise en état des canalisations d’évacuation des eaux usées, suivra un revêtement en bitume.
Ounissi Manel
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