Tout comme il dispose d’un montant consenti par les pouvoirs publics à travers l’Agence nationale de promotion des technologies (ANPT) pour l’étude et l’aménagement du site de son implantation d’une superficie de 17 hectares dont 3 bâtis et déjà disponibles. Pour connaître la raison qui a empêché jusqu’ici le peu d’intérêt accordé à ce futur centre d’attractivité et de croissance, le député Mohamed Seghir Hamani d’Annaba a interpelé la ministre de de la Poste et des Technologies de l’information et des Communications (TIC) à travers une question écrite.
Dans l’attente de la réponse à cette requête du parlementaire qui a énuméré l’ensemble des bienfaits de ce projet pour la région, on peut effectivement en citer quelques-uns.
Ainsi, le techno parc de Chaïba favorise la métropolisation des industries environnantes, localisées à proximité de trois zones industrielles et une université technique. Il permet d’édifier des infrastructures constituant un centre d’attractivité et de croissance.
Ils peut constituer un incubateur et peut rassembler dans le même lieu les agences d’aides aux petites entreprises de publicité de marketing et de management mais aussi les agences bancaires, les sociétés de capital risque et notamment un observatoire des technologies de la région.
Il offre de même, des espaces dédiés à la recherche et au développement des entreprises privées et publiques, des universités et des consortiums ou laboratoires de recherche indépendants, à l’enseignement et la formation dans les domaines des technologies nouvelles dispensées intra par les grandes universités et écoles supérieures.
C’est pourquoi il est nécessaire de relancer l’ANPT, par le biais du ministère des TIC et la wilaya d’Annaba pour qu’enfin ce projet voit le jour dans les délais les meilleurs, estime-t-on à Annaba.
Le soir d'algerie - 25/01/2014 - A. Bouacha
Pas de commentaires, soyez le premier à commenter cette brève !