De père en fils, la famille Fezari est connue pour avoir servi des hydrocarbures. Résidant à l’ancienne rue Cambacérès, nos bonnes vieilles achetaient chez elle du pétrole dont elles se servaient pour alimenter les anciennes lampes ou leurs quinquets. Ce pétrole servait également à traiter la toux. On y trempait un morceau de sucre qu’on avalait et le résultat était très surprenant. Ceci pour présenter cette famille. Un de ses membres, en l’occurrence Rédha qui détient un registre de commerce de distributeur de carburants s’est vu refuser le contrôle technique par le préposé à la Chambre de commerce d’Annaba, pour le motif que le matériel pour jauger la citerne réservoir n’est pas disponible. Après avoir saisi, d‘après ses dires, la Direction du commerce il s’était vu notifié une fin de non recevoir. Alors a commencé pour lui un véritable parcours du combattant. Il s’était rendu à Alger et écrit à plusieurs ministères dont celui du Commerce, de la Culture etc.… Il nous a même exhibé une invitation de l’ENTV, de plus les journaux locaux avaient déjà soulevé son problème. De graves accusations sont portées envers un retraité qui délivrerait des autorisations scannées pour une durée de trois ans. Reste bien sûr à confirmer car cela relève de la justice. Son vœu et le seul qu’il émet est celui obtenir une audience de M. le Wali d’Annaba afin qu’il puisse lui faire part de son désarroi et dénoncer des agissements qui seraient, toujours d’après lui, contraires à la règlementation.
lestrepublicain.com - 03 mars 2014 - C. A
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