C’était l’horreur et la consternation au sein de la population, après qu'une octogénaire ait été froidement assassinée à El-Mhaffeur dans l’après-midi d’avant-hier, un scénario identique à celui du paisible quartier les Santons. Le corps sans vie de la victime, a été découvert gisant dans une mare de sang, par sa fille adoptive qui rentrait à la maison en fin de journée. Etudiante à l’université, la jeune fille affolée après cette découverte macabre, a immédiatement appelé la police. Ses voisins appelés à la rescousse ont pu constater, à leur tour, la mort atroce de l’octogénaire habitant une villa vétuste datant de l’époque coloniale, située à proximité de l’Antenne de l’APC du populeux quartier El-Mhaffeur. Arrivés sur les lieux du drame, les enquêteurs de la brigade criminelle accompagnés des éléments de l’identité judiciaire, ont fait l'affreuse découverte. Le où les agresseurs lui ont assené plusieurs coups à la tête au moyen d’un objet contondant. Selon une source d’information le médecin légiste a rendu, hier, aux investigateurs le rapport d’autopsie selon lequel, il s’agit d’une mort violente due à sept 7 coups assenés sur le crâne de la victime. Un important indice a été relevé sur le lieu du drame qui sera certainement exploité par les enquêteurs. Ces derniers n’ont trouvé aucune trace d’effraction sur le portail de la villa doté d’un interphone. Cela veut dire que la victime avait parlé à son agresseur ou l’aurait vu avant qu’elle n’ouvre la porte. Une piste sur laquelle les investigateurs vont certainement travailler sans pour autant écarter d’autres hypothèses qui pourraient les orienter vers le ou les auteurs de cet horrible assassinat.
Hier, une liste des personnes suspectes, des récidivistes en particulier, connus dans le secteur et qui pourraient avoir un lien avec ce crime, a été établie tout en identifiant également l’entourage de la victime. L'historique de ses appels téléphoniques avant sa mort, a été demandé auprès de l'opérateur de la téléphonie mobile.
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C’était l’horreur et la consternation
C'était l'horreur et la consternation au sein de la population, après qu'une octogénaire ait été froidement assassinée à El-Mhaffeur dans l’après-midi d’avant-hier, un scénario identique à celui du paisible quartier les Santons. Le corps sans vie de la victime, a été découvert gisant dans une mare de sang, par sa fille adoptive qui rentrait à la maison en fin de journée. Etudiante à l’université, la jeune fille affolée après cette découverte macabre, a immédiatement appelé la police. Ses voisins appelés à la rescousse ont pu constater, à leur tour, la mort atroce de l’octogénaire habitant une villa vétuste datant de l’époque coloniale, située à proximité de l’Antenne de l’APC du populeux quartier El-Mhaffeur. Arrivés sur les lieux du drame, les enquêteurs de la brigade criminelle accompagnés des éléments de l’identité judiciaire, ont fait l'affreuse découverte. Le où les agresseurs lui ont assené plusieurs coups à la tête au moyen d’un objet contondant. Selon une source d’information le médecin légiste a rendu, hier, aux investigateurs le rapport d’autopsie selon lequel, il s’agit d’une mort violente due à sept 7 coups assenés sur le crâne de la victime. Un important indice a été relevé sur le lieu du drame qui sera certainement exploité par les enquêteurs. Ces derniers n’ont trouvé aucune trace d’effraction sur le portail de la villa doté d’un interphone. Cela veut dire que la victime avait parlé à son agresseur ou l’aurait vu avant qu’elle n’ouvre la porte. Une piste sur laquelle les investigateurs vont certainement travailler sans pour autant écarter d’autres hypothèses qui pourraient les orienter vers le ou les auteurs de cet horrible assassinat.
Hier une liste des personnes suspectes, des récidivistes en particulier, connus dans le secteur et qui pourraient avoir un lien avec ce crime, a été établie tout en identifiant également l’entourage de la victime. L'historique de ses appels téléphoniques avant sa mort, a été demandé auprès de l'opérateur de la téléphonie.
L'est republicain - 28 mai 2014 - Boufessioua Sofiane
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