D’année en année, l’état des plages se dégrade à vue d’œil. Prises d’assaut par des «commerçants» d’un genre nouveau mais plutôt dans le genre dégradant, les plages n’ont plus de plage que le nom. Squattées, dégradées, souillées, elles sont devenues des «cafés à chichas», des lieux de villégiature très insalubres et cela, au vu et au su de la ville et de ses services censés s’occuper de la chose touristique. L’été est devenue une véritable aubaine pour ces « vendeurs de thé », ces « gardiens de parking » qui, au fil des années, se sont appropriés l’espace public pour en faire un fonds...
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