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Culture

Parmi les dix superbes salles de cinéma, dont une cinémathèque, que compte la ville des Jujubes, trois ne font plus partie du patrimoine culturel dont se targuaient jadis les Annabis. Le reste, qui est en perpétuelle dégradation, demeure entre les mains des gérants qui n’ont rien à voir ni avec le cinéma ni avec la culture.
Amar Laskri, réalisateur cinématographique algérien, était récemment au micro de notre confrère de la radio locale dans le cadre du forum. Durant deux heures, Laskri a établi un état des lieux du cinéma en Algérie. Il est catastrophique.
Rideau sur un grand rendez-vous lyrique

Certains au long cours et de renom, d’autres en quête de confirmation ou d’étoiles. Quel bilan établir à l’issu de ces neuf rendez-vous ramdhanesques d’une manifestation organisée pour la première fois dans trois styles de musique andalouse, malouf et chaâbi regroupés en une seule : la musique citadine ?
L’engouement des artistes et du public

Il a un nombreux public. Mme Khalida Toumi, la ministre de la Culture, savait déjà qu’une manifestation culturelle à Annaba ne risquait pas de foirer. Elle en était certaine, d’autant que l’organisation était présidée par Driss Boudiba, l’un de ses plus anciens collaborateurs de haute compétence.
La musique chaâbie a surtout évolué dans les années 1960

Cheikh Rachid Baba Aïssa est l’un des pionniers de la chanson chaâbie à Annaba. Très jeune, il a commencé à taquiner la mandole et à interpréter des qacidate de grands maîtres. Aujourd’hui, son amour pour ce genre musical est immense et a peu de secret pour lui...
Une flamme constamment ranimée

Neuf années sont passées depuis la création du 1er Festival Hassan El Annabi de la musique malouf de Annaba.
Des élèves de Al Awael à Airbus

A travers son établissement d’éducation et d’enseignement Al Awael, l’institut supérieur de Management et des Tic « Didactica » innove dans la prise en charge des enfants en âge de scolarisation. De statut privé, cet établissement semble réussir dans ses approches destinées à apporter un plus au cursus scolaire dans le strict respect des dispositions du ministère de l’Education nationale.
« Le rap est un engagement de tous les moments... »

Le rapeur bônois, invité d’honneur de la soirée de clôture du Festival de Baâlbek à Djemila, s’est confié à la presse sous la grande kheïma. Vêtu d’un t-shirt noir sur lequel était gravé « La ilaha illa Allah, Mohamed rassoul Allah », les drapeaux irakien, libanais, palestinien et algérien à la main, il s’est adonné au jeu de questions-réponses.
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