Futur gouvernement : Djerad sera-t-il reconduit ?

logo





























"Futur gouvernement : Djerad sera-t-il reconduit ?"

Par Massin Amrouni -
jeudi 17 juin 2021 à 20:24

Le scrutin législatif, marqué par une forte abstention, accouche d’un nouveau parlement dominé par les principaux partis de l’ancienne Alliance présidentielle de Bouteflika, mais cette année, contrairement aux législatives précédentes, le FLN n’a pas été parti majoritaire.

En mars dernier, le président Abdelmadjid Tebboune avait annoncé un changement profond du Gouvernement après les législatives du 12 juin dernier, dont la composition pourrait être discuté avec le parti majoritaire, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui.





Face à un parlement sans majorité, la composition du futur gouvernement revient au président Tebboune. De ce fait, le chef de l’Etat devra, selon la nouvelle Constitution, faire un choix entre le limogeage ou le maintient d’Abdelaziz Djerad à la tête du gouvernement.

Vers un gouvernement Djerad IV ?

En analysant les derniers discours des partis gagnants après l’annonce des résultats des législatives, on constate qu’aucun leader politique n’a écarté la reconstitution de l’alliance présidentielle.

Selon les résultats du scrutin ainsi que la feuille de route des partis gagnants, la nouvelle alliance présidentielle pourrait regrouper le FLN, les indépendants, le RND, et le Front El Moustakbal. Avec 288 sièges à la nouvelle assemblée, la nouvelle alliance pourrait soutenir le programme du président Tebboune.

Conséquemment, la nouvelle alliance présidentielle pourrait participer à la composition du futur gouvernement, soit avec une reconduction des ministres des « secteurs-clés » ou avec la nomination de nouvelles têtes.

Allons-nous voir de nouvelles têtes au prochain gouvernement ? Abdelaziz Djerad sera-t-il reconduit ? Les partis gagnants vont-ils se réunir ? Le temps nous le dira…

"Comme chef de gouvernement"

Le peuple veut "UN HOMME DE TERRAIN" et non un "BUREAUCRATE"!.

• Fonctionnaire confiné dans l’atmosphère des bureaux auxquels il attribue une importance exagérée.

Les définitions du mot BUREAUCRATE:

EMPLOYE ADMINISTRATIF

ROND DE CUIR

GRATTE PAPIER

FONCTIONNAIRE

COL BLANC

Un vrai premier ministre aurait du rendre visite rendre visite sur le tas pour discuter à "Ouargla avec les jeunes chômeurs qui manifestent à nouveau"

Le chômage devient une problématique très inquiétante en Algérie notamment dans les régions du Sud, où les jeunes chômeurs continuent de faire parler d’eux depuis quelques mois, en organisant des mouvements de protestation.

En effet, marginalisés, bafoués dans leurs droits, les jeunes chômeurs de la wilaya de Ouargla ont décidé de s’organiser à nouveau et de prendre leur destin en main.





Ils étaient des dizaines, voire des centaines, de jeunes sans emploi, de tous âges et niveaux, venant des quatre coins de la grande-Ouargla, à répondre présents à l’appel lancé par des militants à travers les réseaux sociaux, pour protester contre la situation sociale misérable, dont le chômage, la marginalisation et de favoritisme.

Plusieurs revendications

Les protestataires ont réclamé dans leur requête l’ouverture d’une enquête aux fins de lever le voile sur les agissements, qualifiés de « douteux, d’ambigus et de carrément malhonnêtes», de certains acteurs de l’emploi, notamment ceux qui gérèrent les offres d’emplois émanant les filiales de la Sonatrach par l’antenne locale de l’Anem.

Devant des revendications de la jeunesse, liées à l’emploi et au logement, les services concernées répondent par la répression et l’interdiction du droit de manifester pacifiquement. Des arrestations à l’intimidation, en allant jusqu’à la poursuite des militants devant la justice.

Ces jeunes réclament donc également le respect de la liberté de manifestation pacifique.

Hélas notre premier ministre n'a rien dit et n'était pas intervenu!...que faut-il conclure de cette flagrante injustice!...même pas le moindre mot...je trouve que c'est triste d'esquiver les vrais problèmes! surtout lorsque on veut construire "une Algérie Nouvelle".

"Le témoignage accablant d’une Algérienne sur les conditions du confinement sanitaire suscite une énorme polémique"

Le confinement sanitaire imposé aux voyageurs algériens qui reviennent de l’étranger dans le sillage de l’ouverture partielle des frontières aériennes est au coeur d’une très vive polémique depuis la diffusion d’un témoignage accablant publié sur les réseaux sociaux par une ressortissante algérienne qui a été placée à l’isolement au niveau du complexe touristique de Mazafran à Zéralda.

Ce témoignage est tout simplement accablant. La voyageuse à l’origine de ce témoignage long de plus de 9 minutes a décrit les conditions chaotiques dans lesquelles se déroule ce confinement sanitaire imposé par les autorités algériennes à tous les voyageurs qui pénètrent sur le territoire national. La dame esseulée dans une chambre d’un bungalow du complexe touristique de Mazafran a décrit de nombreuses irrégularités qui font froid dans le dos. Et pour cause, aucune consigne sanitaire indispensable à la prévention contre le risque d’une infection à la COVID-19 n’a été respectée.

Ni les gendarmes ayant accompagné les voyageurs algériens jusqu’à ce lieu de confinement ni les employés, agents de sécurité comme femmes de ménage ou autres travailleurs du complexe touristique de Mazafran, ne portent le masque de protection. Le directeur de ce complexe transformé en lieu de confinement sanitaire lui-même ne respecte pas les gestes barrières et refuse de porter un masque de protection.

Les chambres dans lesquelles ont été admis les voyageurs algériens ne sont pas désinfectées et les repas ne sont même pas servis convenablement. Pis encore, la direction du complexe touristique de Mazafran a encouragé la proximité entre les « confinés » en les invitant à partir manger dans le restaurant du complexe. Ce qui est formellement interdit par le protocole sanitaire encadrement strictement les conditions du confinement obligatoire.

Par ailleurs, les voyageur soumis aux mesures du confinement sanitaire ont été privés de l’eau… potable ! Aucun d’entre-eux n’a reçu une seule bouteille d’eau minérale et les « confinés » ont été contraints de cotiser pour demander ensuite à un agent du complexe de Mazafran d’acheter plusieurs fardeaux de bouteilles d’eau minérale.

Aucun suivi médical n’a été également assuré aux « confinés » et de nombreuses personnes malades et fragiles sont abandonnées à leur triste sort exposant ainsi leur santé à tous les dangers. L’auteure de ce témoignage accablant qui a été massivement partagé et diffusé sur les réseaux sociaux est une voyageuse qui est arrivée sur le territoire national le jeudi 3 juin dernier via un vol de la Turkish Airlines depuis Istanbul. « Nos passeports ont été confisqués par les gendarmes et nous n’avons aucun document qui donne le droit aux services de sécurité de nous confisquer nos passeports sans nous remettre le moindre reçu », dénonce enfin cette voyageuse qui n’a pas manqué de décrire des scènes de dispute et des mauvais traitements auxquels ont été soumis les « voyageurs confinés » placés au complexe touristique de Mazafran.

La pareille aucun accueil chaleureux et rassurant de la part du premier ministre...nos compatriotes rentrent chez eux après une longue absence sans aucune "CONSIDERATION"...comme des moins que rien...alors qu'une simple visite du premier ministre aurait était plus "CONFORTANT" pour le moral des émigrés rentrant chez eux pour voir retrouver avec enthousiasme leur pays et leurs famille...alors ils ont trouvé que déception et tristesse!.

DE quoi écrire plusieurs pages d'exemples sur laisse aller du chef du gouvernement...SUR LES ZONES D'ombres et de 8,5 millions de notre population qui vivent dans une situation totalement précaire!.

"Sidi Bel Abbès : quand un serpent mort prive les citoyens de l’eau courante"

Drôle de situation dans la localité de Ain Titen Yahia, située dans la commune de Oued Sbaa, à l’extrême sud de la wilaya de Sidi Bel Abbès, à l’ouest du pays. Dans ce petit village, les habitants souffrent depuis plus de 10 jours d’une coupure d’eau qui s’installe en plein canicule. La cause de cette coupure qui dure est la mort d’un grand serpent qui est tombé à l’intérieur du puits depuis lequel les maisons sont approvisionnées.

Tout avait commencé quand les citoyens de ce village ont remarqué que le gout, l’odeur et la couleur de leur eau a changé vers le pire. L’odeur est devenue insupportable, indique le journal arabophone El Chourouk, qui ajoute que les villageois ont alerté l’APC, qui à son tour a décidé de couper l’eau dès que le serpent mort a été découvert lors de l’inspection du puits.





La soif s’installe

« Ce qui est arrivé était prévisible », se sont indigné les habitants de cette localité livrée à elle-même. Malgré les appels incessants des habitants afin de couvrir efficacement le puits, les autorités ont fait la sourde oreille. Maintenant que le mal est fait, ces même autorités ne semblent pas être prêtes à repêcher l’énorme serpent et à nettoyer le puits.

Toujours selon la même source, les habitants de ce village soufrent depuis plus d’une dizaine de jours de la soif. Acheter de l’eau minérale pour se laver n’est pas une solution pour ces gens dont les maigres revenus leur permettent à peine de ne pas souffrir de soif. Les plaignants réclament des autorités compétentes de régler urgemment ce problème, et de les approvisionner, en attendant, de citernes d’eau potable.

Le chargé de communication de l’Algérienne Des Eaux, a déclaré que la localité de Titen Yahia ne relève pas de la compétence de l’ADE, et que la responsabilité incombe à la commune. De leur côté, les responsables de la commune de Oued Sbaa s’emmurent dans un mutisme et dans une inaction incompréhensibles, ce qui laisse les pauvres citoyens souffrir de la canicule sans une seule goute d’eau dans leurs robinets.

Et oui! plus de 15.000 zones d'ombres des citoyens qui sont dépourvus de tous sans eaux courante pour étancher leur soif ils vont chercher leur eau au puits! sans logement qui vivent encore dans des baraquements! sans électricité, très peux de routes que des pistes de terre démunie de plusieurs choses de premières nécessitées le rôle d'un chef de gouvernement c'est d'aller voir sur le tas ces pauvres compatriotes de prendre les mesures qu'il faut pour les aider ...malheureusement personnes à l'horizon!!!nos ministres de "PACOTILLES" préfèrent leurs bureaux au lieu d'être sur le tas pour résoudre leurs problèmes au quotidiens...que dire d'autres je constate 60 années après notre indépendance certains de nos frères vivent pire qu'a l'époque du colonialisme!...nous avons vu aucun bilan sur les zones d'ombres et leurs états d'améliorations...combien on été éliminés personne ne sait rien! pas un mot ni du président ni du premier ministre que du flou...et on nous bassine a vouloir construire une ALGERIE NOUVELLE...le peuple veut des RESULTAT CONCRES avec un vrais états des lieux!!!CE n'est pas en restant dans des bureaux et de faire des beaux discours que l'on peut construire le pays...on veut voir des bons EXEMPLES!.

le monde et notre population a évoluer et grâce à la TV on voit comment les autres pays européens interviennent lorsqu'ils ont des problèmes une simple inondation et leur premier ministre ou leur président sont sur le tas!.

nous avons beaucoup de retard sur tout la vraie démocratie est encore "LOIN DEVANT NOUS"