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Annaba. Les acquéreurs exigent une solution

Publié le 17/07/2007
LOTISSEMENT DE LA CAROUBE - Le problème des 500 lots de terrains de la Caroube revient au devant de la scène avec hier, une tentative avortée de représentants des acquéreurs de voir le wali et l’après-midi leur déplacement au niveau de l’agence foncière de Annaba où ils ont été reçus par le directeur mais sans résultat notable.
Plus grave encore il semble qu’aucune solution ne peut être proposée par les pouvoirs publics. Une partie de ces acquéreurs qui attendent depuis 12 ans maintenant de pouvoir construire, réclame l’accès et la viabilisation alors qu’une autre partie demande à ce que les baraques construites sur leur lot et qui les empêchent de construire où même d’accéder à leur terrain soient enlevées.
Un véritable casse tête alors que la situation de ces acquéreurs est de plus en plus difficile, certains n’ont plus ou sont sur le point de perdre les logements qu’ils habitent parce que loués ou prêtés ou de fonction. L’un de ces acquéreurs ayant acheté son lot à l’âge de 57 ans en a 67 aujourd’hui et aucun espoir à cour terme
de voir construite la maison dans laquelle il aurait voulu passer ses vieux jours. Ceci sans compter les crédits qui lient certains qui remboursent actuellement avec intérêts, sans pour autant avoir pu construire. Il faut préciser que ces citoyens ont réglé ces lots à l’acquisition y compris la viabilisation et il aura fallu attendre près de 10 ans jusqu’en 2005 pour qu’un semblant de route d’accès et de VRD soit entrepris mais actuellement
le projet de la route d’accès principal est bloqué au motif d’une baraque implantée en plein milieu.
Pour le reste le directeur de l’agence foncière a déclaré à ces citoyens qui réclament des droits bafoués alors qu’ils ont acquis leur terrain auprès de l’Etat d’ester en justice les habitants des baraques implantées sur le site. Arrivé là on ne peut que se demander comment les pouvoirs publics peuvent laisser traîner une telle situation au détriment de citoyens qui avaient fait confiance à l’Etat au moment de l’acquisition car un tel problème entre deux particuliers se serait depuis longtemps terminé par une condamnation à l’encontre du vendeur. En attendant ces citoyens sont en droit d’avoir une réponse claire alors qu’ils attendent depuis 12 ans pour certains.
L'est républicain > 17/07/07 > Ammar Nadir
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