Il est paradoxal de dire que le développement, le progrès en quelque sorte, soit la source première de catastrophes mais c’est le cas à Annaba où des hommes avaient décidé qu’ils étaient plus savants que la nature. Tous l’ont appris à l’école, à savoir que pour maintenir un sol, il faut des arbres et ceux qui profitent des divers lotissements qui font de Sidi Aïssa, un pseudo quartier résidentiel aux allures de favella brésilienne, le font au détriment des arbres qui ont été abattus pour leur faire de la place. Et le prix c’est une inondation de boue, un charriage...
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