A quelques jours de la célébration de la nuit du destin ou « Leylette El kadri » par les musulmans, notamment les Algériens, à laquelle ils lui consacrent un festin, le citoyen lambda au faible revenu et saigné à blanc, ne peut relever la tête pour joindre les deux bouts. Il est écartelé. D’une part, les conditions précaires dans lesquelles il végète et, d’autre part, la cherté de la vie à laquelle il face durement. Nombre de citoyens défavorisés voire démunis, n’ont pas les moyens pour célébrer cette fête religieuse. Donc, ils font l’impasse comme si de rien n’était. Par...
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