C’est parce que certainement informés des décisions prises par la direction générale des douanes algériennes de dégommer certains de ces cadres et agents impliqués dans différentes affaires et la mise à la retraite d’autres, qu’une jeune femme avait cru qu’elle pouvait agir à sa guise. Ayant la certitude que ces décisions allaient entraîner une baisse de vigilance aux frontières, elle avait hanté durant plusieurs jours les centres spécialisés du pilon sur les vieux tacots. C’était à Marseille où cette dame récupéra 50 démarreurs, 52 alternateurs, 5 joints de culasses, 2 pompes d’injections, 1 ventilateur et autres pièces de vieilles marques...
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