Après avoir observé un net recul, grâce à l’intervention de l’administration, le commerce informel reprend, ces jours-ci de plus belle, à la faveur de la montée de la protestation sociale. Le centre de la ville de Annaba est devenu ainsi la chasse gardée des vendeurs autoproclamés qui s’adonnent en toute quiétude à leurs activités, sous les regards des policiers, comme si ces derniers avaient reçu des consignes pour éviter de déranger tout ce monde prêt à riposter au moindre coup de semonce. Exceptée quelque peu la rue Ibn Khladoun (ex-Gambetta) qui était auparavant le fief du commerce informel, les autres...
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