Le journaliste Noureddine Boukraa, du quotidien régional arabophone Ennahar, court un danger certain, selon ses propres déclarations. Son avocate, Me Boukhari Lamia, confirme la gravité des trois chefs d’accusation retenus à son encontre. Il s’agit de « divulgation du secret de l’instruction par l’utilisation de documents classés confidentiels », d’« atteinte à l’honorabilité d’un corps constitué » et enfin de « diffamation ». La plainte a été, selon Boukraa, introduite par le chef de la sécurité publique, le nommé Draï Messaoud. Les chefs d’accusation ont été confirmés mardi 4 mars par le juge chargé de l’instruction de cette affaire. Ce...
Lire la suite »