Le désastre de la cession de l'Hôtel d'Orient s'accoît de jour en jour pour l'infrastructure qui se délabre et pour les 29 travailleurs qui réclament leurs droits en vain. En premier le droit, inaliénable de savoir à quoi s'en tenir, ensuite leurs droits selon les dispositions réglementaires régissant et le travail et la cession dont a fait l'objet l'hôtel.Notamment l'octroi de 10% du capital aux travailleurs, selon l'article 28 de l'ordonnance 01/04 du 21 août 2001, une disposition confortée par une note d'application du ministère de la Participation et de la Promotion des investissements datée du 20 mars dernier et...
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