Annuellement, plus de 60 kg d’or sont, en moyenne, gagés à l’agence de prêts sur gages de la Banque de développement local d’Annaba. C’est bien peu, affirment des économistes au regard de la crise socio-économique qui affecte le niveau de vie de nombreuses familles. Normal, répondent certains anciens travailleurs qui argumentent la mise en application, à partir du 1er janvier 2006, par la BDL des nouvelles dispositions relatives aux prêts sur gages. Depuis cette date, toutes les agences de prêts sur gages ont été désertées. Ces nouvelles dispositions ont sensiblement pénalisé autant l’institution financière que les gageurs. Ces derniers se...
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