Dans un passé récent, il ne coûtait qu’entre 100 et 300 DA seulement. Aujourd’hui, un bon chardonneret, «boumezian» pour les Annabis, coûte plus qu’un mouton. Ainsi, le prix d’un plaqué en cage, d’une année, dépasse les 5 000 DA, alors qu’un vieux «khaloui» est cédé à 12 000 DA. La valeur d’un chardonneret nicheur en cage est, elle, inabordable. Depuis la nuit des temps, Annaba figure en tête, après Alger, de la liste des rares marchés sur le territoire national. Espèce de la famille des passériformes, pourtant censée être protégée par la loi, le chardonneret (chnichen pour les Constantinois) forme...
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