Chômage, Misère, mal-vivre... : Il est navrant de découvrir qu’après plus de 48 ans d’indépendance, l’un des plus beaux villages du pays, en l’occurrence Chétaïbi, est fui pas les siens. D’abord, dans les années 1980, par les aînés qui ont déjà montré le chemin, et tant pis s’ils ont opté pour le béton des HLM et la pollution industrielle, laquelle a eu raison de beaucoup d’habitants de Annaba. Maintenant, c’est au tour des jeunes qui n’ont de rêve que El harga, la fuite. D’ailleurs, face à la misère au quotidien, même ceux qui vont à l’université et aux lycées de Annaba...
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