Le vendredi, jour chômé par excellence, semble l’être aussi pour les transports de l’axe Annaba-Besbès. Pour beaucoup d’usagers, il est difficile de trouver ne fut-ce qu’un taxi clandestin pour se rendre dans ce chef-lieu de daïra situé à 25 kilomètre d’Annaba. Rien qu’au niveau de la gare routière de Sidi-Brahim (ex-SNTV), les autocars sont tellement rares que l’attente peut prendre facilement deux heures, surtout l’après-midi. « Chaque vendredi, c’est la même chose, remarque cet usager domicilié à Besbès, qui est obligé de se rendre à Annaba le vendredi. L’attente est tellement longue que je me résous parfois à prendre le...
Lire la suite »