Au rond point d’El Hattab, nous avons pu constater juste la veille de l’Aïd que certains commerçants de l’informel étaient tolérés sur les trottoirs, d’autres pas. Si certains vendaient tranquillement leurs marchandises sur le trottoir du marché, au niveau du parc, juste en face, les jeunes vendeurs, leurs cartons en main, étaient pourchassés par la police et quelques instants plus tard, le trottoir en question était complètement « balayé » ; deux ou trois seulement, au bout de ce trottoir, continuaient à vendre eux aussi, sans être inquiétés. Y aurait-il des vendeurs privilégiés par rapport à d’autres ? La question reste posée. L'EST - 17/10/2013...
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