Les membres de la coopérative «El Amel» de Sidi Amar sont confrontés à des contraintes dont seule la bureaucratie est capable. C’est en 1988 que l’agence foncière leur a cédé à Sidi Amar un terrain de 8 000 m2, mais ce n’est qu’après avoir payé et reçu l’acte administratif qu’ils apprennent que ledit terrain n’était pas propriété de l’agence foncière. Il a fallu attendre deux autres années pour que l’agence leur suggère, en compensation, un autre terrain, mais sans pour autant voir leur problème réglé, les services de l’urbanisme ayant émis un avis défavorable à la proposition. Durant 22 ans...
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