Ce qui expliquerait, selon eux, la place de bon dernier qu’occupe notre pays sur le tableau des destinations touristiques dans le Maghreb et sur le continent. Qu’ils soient du secteur public ou privé, leur constat unanime est que les responsables algériens ont tardé à réagir face aux mutations des marchés du tourisme avec l’émergence des pays de l’Est, aux mutations des techniques de prise en charge de ce secteur et à la réactualisation de la législation nationale. «Ces mutations et législations ont été les grands bouleversements qu’a connus le secteur du tourisme à travers le monde. Chez nous, on continue...
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