Du volume global de l’eau potable mobilisée pour les besoins de la wilaya, 45 % se perdent dans la nature, révèle un diagnostic effectué par un bureau d’étude suisse spécialisé. Il s’agit d’une situation préoccupante dans la mesure où elle réduit l’impact des investissements publics consentis dans ce secteur vital. En effet, une moyenne de 1 500 fuites est détectée mensuellement au niveau du réseau de distribution de ce liquide précieux. La vétusté d’une grande partie de ce réseau constitue la cause principale de ces fuites qui sont localisées dans les grandes agglomérations telles Annaba, El Bouni, Berrahal, El Hadjar...
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