Oleg sanglote sur sa maison, réduite à un tas de gravats par le bombardement russe qui a tué sa femme Katia à Jytomyr, à 150 km à l'ouest de Kiev. Il espère deux choses: qu'elle "est au paradis", et voir Vladimir Poutine bientôt "mort" et "en enfer à jamais". La vie d'Oleg Roubak a basculé mardi soir un peu après 22h, alors qu'il jouait avec sa fille d'un an et demi dans le salon de leur petite maison de bois et briques, tout près du centre de Jytomyr. Comme nombre de villes ukrainiennes stratégiques ces jours-ci, cette ville de garnison,...
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