On le croyait éradiqué par les pouvoirs publics. On pensait que plus jamais les trottoirs ne seraient squattés obligeant les piétons d’emprunter la rue à leurs risques et périls. Finalement, il est revenu. Et en force. Phénomène national, le marché informel n’épargne malheureusement pas une ville comme Annaba. Au centre-ville comme en périphérie, telle une pieuvre avec ses tentacules multiples et multiformes, il cible toutes les couches sociales de la société. Les autorités étaient intervenues pour enfin libérer tous les espaces dédiés aux seuls piétons, ça a tenu quelque temps, mais maintenant, c’est pire qu’avant, constate, dépité, ce piéton rencontré...
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