Pour rendre au Cours de la Révolution, son cachet d’antan, de vitrine d’Annaba, un certain nombre d’arrêtés municipaux a été émis mais sans effets apparents. D’abord l’interdiction de vente illicite de tout et n’importe quoi, comme ces jouets en plastique, ou les cigarettes et jusqu’aux figues de Barbarie, pendant un temps. Ensuite ces petits véhicules d’enfants, des dizaines maintenant et qui, par ce fait même du nombre, sont devenus une contrainte pour les promeneurs et du fait du nombre de ces derniers, évoluent difficilement dans un espace réduit. Le Cours est un espace public et de ce fait soumis...
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