Le problème des 88 résidentes, anciennement hébergées à la Cité Universitaire des Crêtes n’est pas encore résolu. Au contraire il a empiré, puisque maintenant elles ont été jetées à la rue. La résidence où se trouvent encore leurs effets particuliers leur est interdite d’accès depuis le 1er septembre. La genèse des faits perdure depuis le 12 août dernier quand on leur avait signifié de vider les lieux mais sans cependant leur assurer un nouveau gîte. N’oublions pas que ce sont des jeunes filles originaires de plusieurs wilayas et nous citerons, Sétif, Skikda, Jijel, Guelma, Souk-Ahras, Khenchela, Batna et El Oued...
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