
On se souvient du
On se souvien
On se souvient du carnage d’une rare violence commis par
un jeune musicien âgé d’une trentaine d’années contre sa belle- famille, tuant sur le coup, son beau-père de 15 coups de couteau, blessant dans un premier temps sa belle-mère, décédée deux mois après et blessant sa femme ainsi que son frère. Le meurtrier a été condamné par la justice à la peine capitale pour homicide volontaire avec préméditation. Les faits de cet affreux massacre se sont déroulé un vendredi 13 vers 18h, du mois d’octobre de l’année 2012. Le meurtrier n’avait pas accepté la rupture du mariage prise par sa belle-famille malgré qu’elle ait devenue officiellement sa femme. Ces parents n’ont trouvé mieux à quelques mois de la célébration du mariage que de libérer leur fille avant qu’il ne soit trop tard. Ces derniers, ne toléraient plus le comportement de leur gendre qui leur rendait souvent visite tout en faisant à sa femme des leçons de moral en présence de ses parents ainsi que son frère. Il ne voulait même plus qu’elle accompagne sa mère malade chez le médecin, ni de sortir sans sa permission. Sa présence était devenue gênante d’autant plus que son agressivité ne cessait d’attirer l’attention de la belle-famille. Elle savait pertinemment et dès le début que leur fille ne sera jamais heureuse avec cette personne. La décision de rupture était tombée tel un couperet que le tueur eut refusé d’admettre. Il voulait se venger en ternissant dans un premier temps l’honneur et la réputation de la fille. Celle-ci n’avait plus le droit de sortir seule ni de lui parler au téléphone. Le jour du drame, il se rendait au quartier dans lequel habite sa belle-famille, à Ain El-Berda. C’est toute la famille qui avait été insultée sous le regard du voisinage. Le père de famille malgré son âge avancé, il décida d’ouvrir la porte. Pourtant, il n’a pas été épargné par son agresseur qui lui porta plusieurs coups de couteau. Le médecin légiste en a relevé quinze coups. Cela dénote de l’acharnement et de la violence de l’agresseur. Il s’attaqua ensuite à la mère de la fille qui était endormis dans sa chambre. Il lui assena deux coups au ventre. Il se dirigea ensuite vers la chambre où se trouvait sa femme. Il enferma la porte à clé et s’acharna sur elle. Blessée à la jambe, elle avait dû son salut qu’à l’arrivée de son frère qui avait défoncé la porte. Ce dernier a été, à son tour blessé à la main alors qu’il tentait se défendre. Le meurtrier après avoir commis un véritable carnage s’était constitué prisonnier au commissariat. Au terme de cette tuerie, le père était décédé sur le coup, la mère après plus de quatre semaines tandis que les deux frères sont les seuls survivants. Un massacre qui restera à vie gravé dans leur mémoire et du moins les habitants de cette paisible commune de Ain-Berda.
lestrepublicain - 06 décembre 2014 - Boufessioua Sofiane
Les Commentaires
la femme on la chéri, la respecte et ainsi ça devient réciproque.
La solution radicale qui servira d'exemple, punition façon Arabie Saoudite juste après la grande prière du vendredi le faire passer par le sabre, sur la place publique.
Où est l'honneur d'un homme prétendant à la main d'une femme, si celle-ci change d'avis et ne veut plus se marier?
Où est passé la fierté et la dignité d'un homme qui se voit poliment éconduit pas sa belle famille?
Il faudrait être vraiment un mufle pour continuer à insister, à persévérer dans une démarche de têtu qui ne mène nulle part. La seule et honorable solution c'est de se retirer dignement, sans fracas ni vociférations en préservant son honneur. On ne peut se faire aimer par la force. Et puis qui serait heureux avec une personne malheureuse contrainte de vivre contre sa volonté avec quelqu'un qu'elle ne chérit pas?