Huit métiers du futur qui devraient beaucoup recruter dans les prochaines années

1. Hacker

Hacker… Ce terme de langue anglaise, passé dans le langage courant au fil des différentes cyberattaques qui ont touché des administrations ou des entreprises, en France ou ailleurs dans le monde, désigne à l’origine un « pirate » informatique. Voir cette compétence arriver en première place du classement de Die Zeit est donc surprenant. Mais ici, le magazine ne fait justement pas référence aux pirates informatiques, mais aux hackers « white hats », littéralement « chapeaux blancs », appelés aussi « hackers éthiques ». Le média allemand évoque, par exemple, des hackers qui travaillent pour le compte des services de sécurité allemands, et qui peuvent faire progresser des enquêtes. D’autres sont chargés de déceler des failles de sécurité dans les systèmes informatiques d’administrations ou d’entreprises.

je t'ai contourné par la place d'armes avec des barrettes en + dans le pc!...no problémo! hasta la vista baby! coule mec tchao yanky!

2. Concepteur de mondes numériques

Concepteur de mondes numériques, c’est, en quelque sorte, le concepteur multimédia de demain. Aujourd’hui, un concepteur multimédia, c’est un spécialiste qui « crée des produits multimédias en mêlant sons, textes et images, en collaboration avec des graphistes, des auteurs, des développeurs et des webdesigners », explique l’Onisep, l’Office national d’information sur les enseignements et les professions. Si le métier de concepteur de mondes numériques devrait être très demandé, dans le futur, c’est notamment en raison du potentiel du métavers : un véritable univers virtuel qui préfigure, selon certains experts, l’internet de demain. Ce domaine intéresse déjà des entreprises, qui investissent dans ce monde numérique. L’idée étant, par exemple, de mettre sur pied une boutique virtuelle pour que les « avatars » des clients puissent y faire du shopping. Or, il faudra, par exemple, créer ces magasins numériques, et les représentations numériques des produits qui y seront « vendus ». Ce sera le travail de ce concepteur de mondes numériques.

3. Spécialiste des énergies renouvelables

Réchauffement climatique, guerre en Ukraine, crise énergétique… Chaque jour qui passe, ou presque, démontre l’importance de la transition énergétique. Dans ce contexte, les énergies renouvelables sont appelées à prendre de plus en plus d’importance, aujourd’hui comme demain. Des énergies qu’il faudra et qu’il faut déjà produire. Et malgré l’automatisation de nombreux secteurs d’activité, des spécialistes devront tout de même opérer, faire la maintenance ou réparer des champs d’éoliennes ou encore de panneaux solaires. Le travail d’ingénieurs, de techniciens et autres spécialistes de ces installations qui devraient être des métiers très demandés dans le futur.

4. Pilote de drone dans le domaine de l’agriculture

Les crises d’aujourd’hui soulignent l’importance d’un autre domaine : celui de l’alimentation et de l’agriculture. Die Zeit imagine, dans ce secteur d’activité, un autre métier du futur : celui de pilote de drone spécialisé. Ces petits engins volants « peuvent être utilisés pour gérer de grands champs », souligne le magazine. Parmi les utilisations possibles ? Des techniques d’imagerie avancées qui pourraient identifier si des cultures sont suffisamment irriguées ou pas, des épandages de fertilisants depuis le ciel. Or, ces drones, il faudra les manœuvrer. D’où l’importance du métier de pilote. Des formations « drone agricole » existent déjà, en France et ailleurs.

5. Livreur courte distance

Avez-vous déjà entendu parler de la « livraison du dernier kilomètre » ? C’est ainsi que l’on désigne, dans le monde de la logistique, la dernière étape de la livraison d’un produit, un terme particulièrement employé dans le commerce en ligne. Autrement dit, dans le cas d’un bien acheté sur internet, c’est quand le colis est acheminé chez vous. Une étape coûteuse et parfois difficile à gérer. Mais celle-ci représente un métier d’avenir, selon le « futurologue » allemand Tristan Horx. En effet, de nombreux métiers impliquant de conduire devraient être menacés par la numérisation et même l’arrivée des véhicules autonomes, estime-t-il. Mais pas la « livraison du dernier kilomètre ». En effet, il s’agit d’une étape souvent compliquée… Et « dès que les choses deviennent complexes, des humains doivent intervenir », dit encore Tristan Horx.

6. Les métiers du soin à la personne

C’est un secteur qui recrute déjà, et la tendance devrait persister dans le futur. « On constate une pénurie de candidats aux métiers du soin et de l’accompagnement », dit le ministère français du Travail dans une note mise à jour à la mi-septembre 2022. Il y a donc de la demande pour ces professions en ce moment, une demande qui devrait continuer d’exister en raison, notamment, du vieillissement de la population, souligne le ministère. Dans le même temps, précise Die Zeit, ces métiers ne peuvent pas s’automatiser : des machines peuvent seulement assister les aidants et les soignants, pas les remplacer. D’après le magazine allemand, ce constat vaut également pour d’autres professions : psychologues, éducateurs, enseignants.

7. Expert en… cyborgs

« Personnage de science-fiction ayant une apparence humaine, composé de parties vivantes et de parties mécaniques. » Voilà comment le dictionnaire Larousse définit un cyborg. Or, selon Die Zeit, le métier d’« expert en cyborg » fait justement partie des professions de demain ! Il s’agit évidemment d’une métaphore puisque le magazine allemand fait ici référence à des technologies médicales : notamment la pose de prothèses ou d’implants très perfectionnés. Pour reprendre l’exemple des prothèses, il faudra les construire, apprendre aux patients à s’en servir, mais aussi faire leur maintenance et leurs mises à jour. Ce qui explique le besoin futur d’experts en « cyborgs » dont parle Die Zeit.

8. Manager du bonheur

Happiness manager… Derrière cet anglicisme se cache un emploi : celui de gestionnaire du bonheur. Un job qui consiste, en substance, à améliorer la convivialité et le bien-être au travail. Et que certaines entreprises commencent déjà à recruter. Car pour les employeurs, le sujet est en réalité capital : il s’agit, en creux, d’attirer des salariés mais aussi de les conserver, en faisant en sorte qu’ils n’aillent pas chercher un autre travail. Un symbole des mutations qui traversent le monde du travail, comme la « grande démission », et qui forcent les employeurs à s’adapter.

Finalement tout est lié à l'informatique!...d'où un hacker reste le N° 1 en gros il peut être ami où ennemi!!!il tient toutes les ficelles au bout des doigts sur quelques touches d'un clavier!...c'est lui le roi!...ay bouzah!!!ba ba ba ba ba ba!.