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Quatre jours après le communiqué de la FAF, Belmadi n'a pas riposté Dialogue de sourds et pistes douteuses...

Publié le 03/02/2024
Quatre jours après le communiqué de la FAF, Belmadi n'a pas riposté Dialogue de sourds et pistes douteuses... Placeholder MOHAMED BOUCHAMA PUBLIÉ 03-02-2024, 11:00 Le communiqué de la FAF, mardi soir, annonçant la fin de l’histoire entre Djamel Belmadi et les Verts n’a pas fait réagir l’entraîneur qui a préféré «mûrir sa réflexion» avant de répliquer. La FAF a donc «définitivement tourné la page» de Belmadi. Et elle se consacre à rechercher son successeur qui aura pour mission de qualifier la sélection à la CAN-2025 et au Mondial-2026 et, si possible, lui offrir (à l’EN, ndlr) un visage plus radieux que celui présenté sous le règne du coach limogé. Enfin, si le mot limogeage n’est pas prononcé pour des considérations que seul le rédacteur du communiqué de la fédération connaît, la séparation morale est consommée. Quand bien même les deux parties se reverront autour d’une table pour discuter des modalités de ce divorce à l’italienne, sans jeu de mots aucun. Car, de la séparation à l’amiable libellée et notifiée sur X (pas de jeu de mots, non plus), la FAF a montré une agressivité telle dans le texte publié qu’on dirait que celui avec lequel elle ne veut désormais plus collaborer a commis un acte gravissime. Un acte de trahison, probablement. Or, avant d’échouer et d’être la cible des critiques de ses propres admirateurs, Djamel Belmadi a été un héros national. Il aurait été plus mesuré d’accorder cette «circonstance atténuante» au Monsieur et rédiger un communiqué où la sagesse d’un dirigeant du sport et la fermeté d’un patron d’une entreprise économique fusionnent. Il est vrai que la communication n’est pas le fort de nos instances et des hommes qui les dirigent, mais… Aujourd’hui que le mal est fait, il faudrait revenir à la table des discussions, et sur ce plan, il semble bien que personne, aucune partie, ne veuille avancer le premier. Belmadi qui a «apprécié» le communiqué fédéral de mardi se cantonne chez lui à Doha (contrairement aux informations publiées ce week-end, il ne compte pas revenir à Alger de sitôt) et la FAF est plutôt préoccupée par la quête de cet entraîneur qui réanimerait une sélection algérienne à l’agonie. Alors des noms, et des mensonges, fusent de partout sans que rien ne soit conclu. Si la liste s’élargit de jour en jour avec l’entrée en piste de coachs de nationalités africaines (ce serait une première !) à l’exemple du Comorien Amir Abdou (Mauritanie), le Malien Eric Chelle (Mali) et le Sénégalais Aliou Cissé, la piste d’un entraîneur européen serait la plus suivie par les «superviseurs» de Walid Sadi. Et à défaut d’un entraîneur français, où seul Hervé Renard fait référence en Afrique, il serait question d’un technicien de l’ex-Yougoslavie (Halilhodzic ou Petkovic) sinon d’un Portugais qui a eu la main heureuse en travaillant aussi bien en Afrique, qu’en Asie et en Europe, à savoir Carlos Queiroz que l’on dit le plus à même de faire l’unanimité chez les (vrais) décideurs du football algérien… M. B. Placeholder MOHAMED BOUCHAMA PUBLIÉ 03-02-2024, 11:00
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Quatre jours après le communiqué de la FAF, Belmadi n'a pas riposté
Dialogue de sourds et pistes douteuses...
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MOHAMED BOUCHAMA
PUBLIÉ 03-02-2024, 11:00

Le communiqué de la FAF, mardi soir, annonçant la fin de l’histoire entre Djamel Belmadi et les Verts n’a pas fait réagir l’entraîneur qui a préféré «mûrir sa réflexion» avant de répliquer.

La FAF a donc «définitivement tourné la page» de Belmadi.

Et elle se consacre à rechercher son successeur qui aura pour mission de qualifier la sélection à la CAN-2025 et au Mondial-2026 et, si possible, lui offrir (à l’EN, ndlr) un visage plus radieux que celui présenté sous le règne du coach limogé.

Enfin, si le mot limogeage n’est pas prononcé pour des considérations que seul le rédacteur du communiqué de la fédération connaît, la séparation morale est consommée.

Quand bien même les deux parties se reverront autour d’une table pour discuter des modalités de ce divorce à l’italienne, sans jeu de mots aucun.

Car, de la séparation à l’amiable libellée et notifiée sur X (pas de jeu de mots, non plus), la FAF a montré une agressivité telle dans le texte publié qu’on dirait que celui avec lequel elle ne veut désormais plus collaborer a commis un acte gravissime.

Un acte de trahison, probablement.

Or, avant d’échouer et d’être la cible des critiques de ses propres admirateurs, Djamel Belmadi a été un héros national.

Il aurait été plus mesuré d’accorder cette «circonstance atténuante» au Monsieur et rédiger un communiqué où la sagesse d’un dirigeant du sport et la fermeté d’un patron d’une entreprise économique fusionnent.

Il est vrai que la communication n’est pas le fort de nos instances et des hommes qui les dirigent, mais…

Aujourd’hui que le mal est fait, il faudrait revenir à la table des discussions, et sur ce plan, il semble bien que personne, aucune partie, ne veuille avancer le premier.

Belmadi qui a «apprécié» le communiqué fédéral de mardi se cantonne chez lui à Doha (contrairement aux informations publiées ce week-end, il ne compte pas revenir à Alger de sitôt) et la FAF est plutôt préoccupée par la quête de cet entraîneur qui réanimerait une sélection algérienne à l’agonie.

Alors des noms, et des mensonges, fusent de partout sans que rien ne soit conclu.

Si la liste s’élargit de jour en jour avec l’entrée en piste de coachs de nationalités africaines (ce serait une première !) à l’exemple du Comorien Amir Abdou (Mauritanie), le Malien Eric Chelle (Mali) et le Sénégalais Aliou Cissé, la piste d’un entraîneur européen serait la plus suivie par les «superviseurs» de Walid Sadi.

Et à défaut d’un entraîneur français, où seul Hervé Renard fait référence en Afrique, il serait question d’un technicien de l’ex-Yougoslavie (Halilhodzic ou Petkovic) sinon d’un Portugais qui a eu la main heureuse en travaillant aussi bien en Afrique, qu’en Asie et en Europe, à savoir Carlos Queiroz que l’on dit le plus à même de faire l’unanimité chez les (vrais) décideurs du football algérien…

M. B.

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MOHAMED BOUCHAMA
PUBLIÉ 03-02-2024, 11:00
cette affaire finira à la FIFA qui va trancher ./
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