Pour la famille Fadel le calvaire, de l’occupation d’une tente en pleine rue du centre-ville, depuis le 11 juillet 2010, n’est pas prêt de finir. La joie des deux frères de se voir figurer sur la liste des bénéficiaires de logements sociaux, rendue publique le 17 novembre 2011, a été éphémère puisque les «heureux élus» ont réalisé qu’ils ne sont attributaires que d’un seul F3.
Ils ne s’expliquent pas cette situation et rejettent la cohabitation. Ces deux pères de famille qui ont à leur charge respectivement 1 et 2 enfants ont décidé d’introduire un recours auprès de qui de droit pour avoir chacun son propre logis. Ils interpellent les autorités et appréhendent une autre omission puisque les institutions saisies n’ont pas daigné donner une suite à leur requête.
Les Commentaires
Ceci est un parfait exemple d'une société de fainéants, de paresseux, de je m'enfoutistes qui s'en moquent, où personne ne fait dignement son travail avec honnêteté et bienveillance. Tout traîne! Un travail qui demande une semaine, il prend des mois voir des années pour être enfin réalisé. Quand on a le cerveau au ras de sol, car on commet des fautes graves, abérrantes, comme celle d'attribuer à 2 frères de la même famille le même appartement. Surtout en cette période de crise du logement où chaque habitat accordé doit faire soigneusement l'objet d'une vérification et d'un examen rigoureux pour s'assurer qu'il n'y a pas d'erreur.
Comment voulez-vous, qu'avec de tels esprits on puisse faire face à des problèmes plus impotants, plus difficiles? Doit-on, à ce moment là, tout lâcher et déguerpir en courant comme des froussards, parcequ'on est incapables ?