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Annaba: CITÉ KOUBA : LES BALCONS QUI TOMBENT - A qui échoit la reponsabilté?

Publié le 20/02/2014
Ce qui devait arriver, arriva ! En effet, hier en soirée des bordures de balcons des bâtiments au niveau de la cité Oued Kouba notamment au niveau des blocs E4 et E5, ont chuté d’une hauteur de plusieurs mètres, occasionnant des dégâts à deux voitures qui étaient en stationnement au bas des immeubles en question. Les dégâts visibles sont le bris des glaces et l’emboutissage des capots. Heureusement que l’incident a eu lieu en fin de soirée et les enfants, qui d’habitude jouaient à cet endroit là n’y étaient pas, sinon, les dégâts humains auraient été plus importants. L’OPGI, consciente du problème et première concernée ne semble pas mesurer l’impact de ces bordures de balcons, usées par la force du temps et les risques majeurs encourus par les enfants qui souvent jouent au bas de l’immeuble. Les chutes les plus fréquentes sont signalées au niveau de la Tour C qui n’est pas à l’abri d’une catastrophe humaine. Faudrait-il qu’il y ait mort d’une personne pour que l’OPGI réagisse ?

lestrepublicain.com - 20 février 2014
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Les Commentaires

Bonjour,

C’est dommage que l’OPGI ne prenne pas ses responsabilités. Le bâtiment lui appartient car il s’agit la d’une copropriété. Il lui appartient d’y remédier à cette situation si non elle risque d’endosser une grande responsabilité en cas de perte humaine. Et les tribunaux sont là pour faire respecter la loi.
Bonjour,

C’est dommage que l’OPGI ne prenne pas ses responsabilités. Le bâtiment lui appartient car il s’agit la d’une copropriété. Il lui appartient d’y remédier à cette situation si non elle risque d’endosser une grande responsabilité en cas de perte humaine. Et les tribunaux sont là pour faire respecter la loi.
Selem ahlikom,

La cité Kouba est situé vers la corniche?
J'éspère que les voitures étaient assurées en tout risques!
Ils devraient réagir rapidement car cela risque en effet de faire des dommages corporels et materiels plus importants!
Malheureusement ce problème n'est pas unique à la cité Kouba. Il suffit de lever la tête vers les facades des immeubles au centre ville est ailleurs, pour constater que tous les balcons ont déjà perdu une partie de leur plate-forme. Découvrant ainsi les tiges rouillées de béton armé qui ne jouent plus leur rôle de fortification. D'autres balcons sont à peine soutenus par des consoles elles-même à bout de souffle, couvertent parfois d'une couche de mousse et même d'herbes sauvages qui poussent entre les interstices. D'autres encore ont carrément une grande partie de la dalle, ou bien plusieurs pierres, formant le saillie, totalement démantelés. La plupart des rambardes, des balustrades tiennent elles également à peine sur ce qui reste du balcons. Où encore, elles sont quasiment détachées à leur base et ne tiennent, sur leur partie supérieure, qu'à une transversale commune dont les deux extrémités en demi cercle finissent leur course sur les tristes facades, elles également dans un état de vétusté avancée.
Nos villes sont vieillissantes. Dans leur majorité, elles n'ont bénéficié ni de refections, concernant les parties essentielles comme les toits, les fondations, les balcons, les facades, les cages d'éscaliers, ni d'un quelconque autre entretien depuis plus de 50 ans.
ceux qui y logent sont seuls responsable de leur logement et des problèmes qui produisent.
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