En dépit de l’amélioration relative du cadre de vie du citoyen qui a longtemps souffert des affres qu’il affronte quotidiennement au sein de son espace vital et environnemental, décidée par les autorités locales, certains quartiers de la ville des jujubes, notamment les cités-dortoirs, à l’instar des 500 logements situés dans la cité « Hay El Abtal », où règne une anarchie qui ne dit pas son nom, sont laissés en rade. D’aucuns ont trouvé que leur quartier se dégrade de mal en pis et que certains problèmes soulevés à maintes reprises qui font partie de lot quotidien perturbent encore à...
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