Rien n’aurait pu prédire qu’un petit quartier populaire de quelque 5 000 âmes, comme la cité Auzas, deviendrait un «centre commercial », à l’encontre de toute logique urbanistique et en dépit du bon sens. Actuellement, il ne pourrait même plus être question de redéfinir ce quartier dans un plan de développement urbain cohérent, tant l’enchevêtrement de nouvelles constructions et de constructions de type colonial et « arabe » qui caractérisaient ce quartier, est devenu inextricable. Même si cela n’est pas encore apparent, le quartier est devenu et le deviendra plus, un obstacle à tout développement aux normes urbaines modernes. Cela est dû à...
Lire la suite »