Ils sont de plus en plus nombreux à investir les rues du chef lieu, les femmes et les enfants maliens qui vivent de mendicité. Les hommes, eux cherchent du travail en particulier dans le bâtiment comme manœuvres, quand ils ont la chance d’être recrutés pour un salaire très dérisoire. La majorité d’entre eux dorment dans les bouges de la Vieille ville, dans les caves, les entrées, avec leurs congénères, des jeunes qui sont entrés de façon légale, des étudiants pour la plupart. Pourtant, d’après des sources policières, ces familles ne font que transiter par notre ville, et vivent en quelque...
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